22/03/2014. Des
lumières sur le village Étampes 02 aux Foulées du Tertre à Montmartre. (Exposé
communiqué au ministère public.
Sans coups tordus, le seul évènement anormal produit dans
cette sympathique et joyeuse ambiance sur la hauteur parisienne de la Basilique
Sacré Cœur de Montmartre de la course à pied festive, a été la mise innocemment
dans mes mains le calendrier des courses à pied de la Picardie, région
avoisinant les départements de l’Île de France des alentours de Paris. En
survolant ce calendrier inattendu, je me suis enfin rendu compte d’avoir
bafouée le député-maire UDF en campagne électorale Frank Marlin, par des
imputations erronées de la suppression de la course à pied dans son village ÉTAMPES
02 en Picardie. Contrairement à mes affirmations, la course à pied recherchée à
bien dû avoir eu lieu, mais dans l’autre village ÉTAMPES 91 dans l’Île de
France. (Sur la page d’accueil du blog dietrichp13.wordpress.com,
l’article rossard a résisté à la suppression bloquée).
Ainsi, dans des circonstances
normales d’un État de droit, je n’hésiterais pas d’adresser des excuses
publiques au député-maire UDF en campagne Frank Marlin, bien qu’il soit une
de ces créatures vermoulues de Sarko-les-pots-de-vin, bien que sa coterie
scélérate ne se soit jamais abaissée de s’excuser de mon déstabilisation
psychique par des affronts humiliants publiés de leur cortège laudateur des
journaleux à gages, (ainsi la déstabilisation morale de mes proches), pour
empêcher la saisine de la feue Haute Cour de justice des criminels perpétrant
le complot pénalement qualifié contre la sûreté de l’État. Forcément, le beau monsieur le député-maire
parachuté à ÉTAMPES 02 a activement
participé en concert avec les vendus de la même farine moisie. Personne de la
bonne société coupable ne s’est encore dévoué de réparer mes incommensurables
dommages matériels et moraux, ni ceux de me proches, alors que cette coterie
verse aux avocats saboteurs de mes accusations sériées, sans conteste fondées,
des honoraires d’un montant astronomique allant jusqu’à un millions de
dollars /heure, inclus les heures de déplacement, conférences,
déjeuners... N’en parlons pas de l’armée des détectives privés aussi grassement
appointés des sociétés de surveillance, faisant aussi travailler au noir des
fonctionnaires spécialisés des secteurs de la technique de pointe.
Il m’est donné par ce
rocambolesque incident à ÉTAMPES 02 de
rectifier la condition première de la légalité des suites judiciaires : la
question préalable et/ou préjudicielle, aux juridictions légalement compétentes
de l’évaluation du montant de ma modique note de frais. L’équité judiciaire, un
autre droit fondamental de caractère supra-constitutionnel, exige à ce que mes
travaux constructifs au regard Droit et de la Justice soient, au moins, payés
au tarif maximal versés aux avocats destructeurs de la légalité par des
artifices coupables, sabotages organisés et fraudes défrayant actuellement la
chronique au sujet des écoutes téléphoniques et enregistrements pratiqués sur
les conciliabules de l’arrière cuisine politique du maître cauteleux, doublé
d’escroc de haute volée Nicolas Sarkozy, sa camarilla dorée et sa clique
friquée des fieffés gangsters commensaux de la déprédations systématique des
biens et deniers publics, du ruine de l’économie nationale, des rapines des
biens des particuliers.
À ce régime de
l’équité et d’égalité du traitement judiciaire, avec trente-cinq ans
d’arriérées à indemniser, personnellement comme de droit, par
Sarko-le-pots-de-vin, de ses prédécesseurs et de leur coterie de truands de
haute et bas étage miraculés de la feue Haute Cour de justice, je deviendrai le
coureur le mieux payé du monde : mes périlleuses randonnées aux
compétitions des courses à pied présentent des actions extra-judiciaires
parfaitement indemnisables à même titre que les libations dispendieuses
d’affaires et macabres conciliabules des avocats friqués, en tourné de
corruption et du trafic d’influence dans les hautes sphères du Pouvoir. J’ai
déjà réclamé au ministère public, selon la pratique courante appliquée à
l’égard des gangsters ordinaires, la mise sous séquestre judiciaire tous les
biens disponibles pour la saisie de cette coterie outrageusement enrichie par
une catégorie des crimes organisées jamais réprimés. C’est la doctrine des plus
savants des mandarins des sciences pénales et de la criminologie du monde
entier. « La force prime le droit » depuis des temps immémoriaux !
En ces temps-ci, la force s’exercer par l’argent sale, le nerf de la guerre aussi
dans les palais de justice.
Répétons-le aux belles âmes délicats du beau linge qui
tiennent en répugnance les électeurs et justiciables du menu peuple : plus
aucune juridiction pénale du droit commune a été légalement compétente pour
juges le membre du gouvernement avec leurs complices du complot contre la
sûreté de État évident depuis la publication citée en 1973 par Alain Jaubert de
son livre documentaire DOSSIER D
...COMME DROGUE, LE MILIEU ET LA POLITIQUE..., LES GROS BONNETS...LES FINANCES
ET LES FILIÈRES EN FRANCE. (Ed. Alain Moreau). L’usurpation massive par la
prévarication criminelle de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice
entraîne l’imprescriptible nullité substantielle d’ordre publique de toute
cette énorme masse des jugements et arrêts sur des faites criminelles, tous
indivisibles des uns des autres, ainsi que les décisions truquées prises par la
Cour fantôche de justice de la République. Cette juridiction de remplacement
illégalement créée pour anéantir, avec moi, mes constructions juridiques, a
débuté son fonctionnement caricaturale par des séries de crimes de suppression
des actes de procédure et d’un paquet de faux en écritures publiques pris par
des magistrats prévaricateurs... justiciables de belle lurette par la feu Haute
Cour de justice pour complot contre la sûreté de l’État. Le raisonnement irréfuté
et irréfutable peut encore poussé bien plus loin : toutes les élections
ayant suivies la concertation du complot sont viciées par les mêmes illégalités
constitutionnelles et illégitimités politiques.
Pour des excuses à l’érudit béni-oui-oui député-maire UDF en
campagne électorale Frank Marlin, nous ne sommes donc pas placés dans des
circonstances politiques, ni normales, ni légales, encore moins légitimes. Mes
activités sont dirigées furtivement depuis le début de mon infiltration dans
quatre universités de Droit dans dessins de faire saisir par les professionnels
assermentés de la magistrature la Haute Cour de justice pour faire cesser le
crime organisé, pour faire rétablir la situation légale et l’État de droit en
France. Mes opérations téléguidées visaient de filler à ces hauts magistrats, (qui
se sont fait acheter par les plus offrants), devenu leur marchandise avec
moi-même, le bébé gangréné, les dossiers commentés du complot contre la sûreté
d’État d’une coalition mafieuse de fonctionnaires constituées en associations
avérée de malfaiteurs blasées, laquais soudoyés des déprédateurs multinationaux
de la France.
Mes actions, depuis
le début sont contrôlées et dirigées, manœuvrés par les barbouzes,
parallèlement aux manipulations sournoises et sabotages d’un cartel
multinationale de malfaiteurs. En ce moment, comme par le passé, est plus élevé
que mon revenu annuel, les dépenses journalières de ma surveillance par ces mafieux :
de mes faits et gestes, mes contacts, de mes études, recherches et écritures.
L’exploitation de mes notes dans mon « journal intime », dont celle révélant le comique d’une
bouffonnerie électorale visant la récupération des plumes du paon, vient de
tourner à une véritable super-bouffonnerie dans la précipitation de la corriger
la nuit même avant qu’elle se répande par des potins dans la commune. À la
portée des investigations privées, même éteinte, le téléphone portable est bien
plus performant que les bracelets électroniques pour faire suivre par la police
les déplacements malfaiteurs en liberté conditionnelle. N’ont rien de
surprenant les rencontres aux tournants pour me mettre en pièces détachées, ou
alors me faire noyauter par des drôles de zigotos. Mais des manigances et
sévices par des moyens l’électroniques dépassant l’imagination débridée des
auteurs des romanes science-fiction, c’est-là encore une autre scabreuse
histoire....
Mon système informatique en connexion WEB est étroitement et
officiellement contrôlé à partir des USA pour déjouer les services secrets
civils et militaires de la France tombés les mains des ministres mafieux de la
farine moisie Pasqua, Léotard, Sarkozy et ses vassaux : le franc-maçon de
la GLNF Guénant, du néonazie Longuet, en ministre de Défense en guerre en Lybie
contre le colonel Kadhafi, leur ancien sponsor des faramineux pots-de-vin
devenu trop loquace... L’ordinateur isolé, hors-connexion, à partir de
je-ne-sais-d’où, est contrôle par des capteurs d’écran, contrôle ayant même
permis des interventions sur ma rédaction. Des contrôles et téléguidages pour
faire rétablir en France, à l’aide de la reconstituions de la Haute Cour de
justice sabordée par les malfrats qui en ont été, et en sont toujours
justiciables, cette situation légale foulée au pied par les hautes commis
d’État soudoyés de la hiérarchie
gangrené du haut vers le bas de l’échelle.
Des informations inconvenantes
sur Net me sont bloquées, la recherche tantôt dirigée, tantôt verrouillée.
Souvent
des informations trouvées disparaissent mystérieusement avant que je puisse en
effectuer une copie, notamment les listes nominatives des lobbys discrets. Sont
modifiés furtivement les mot-de-passe de mes fichiers du « journal
intime » comportant des informations à éviter à divulguer : mes
observations relatives aux attentats contre la sûreté de l’État. Ai-je besoin
de préciser que si je me suis planté sur l’internet dans la recherche du bon
village Estampe 02 de la course à pied, c’est en raison de la très forte la probabilité
d’une manœuvre habillement dirigée. Par quelle organisation ? Cherchez à
savoir ! Peut-être rien qu’une autre provocation habillement amenée, pour
m’obliger de disserter encore et encore un peu plus sur ce sujet inépuisable du
complot contre la sûreté de l’État se déroulant sous nos yeux durant cette
ahurissante campagne des élections municipales. Qui va s’interroger pourquoi la
barbouzerie fait empoisonner en coulisse par des voyoucrates la vie, fait
éclater en sinistre, l’existence d’un humble sous-off de basse extraction,
alors que depuis fort longtemps, un de ces juristes prétentieux de bel air, carriéristes
nés coiffés pour se faire caser dans la fonction publique par le népotisme et
le favoritisme sectaire ? Qui oserait de soutenir dans le reste indemne de
la gangrène contagieuse de la magistrature et des maîtres marginalisée dans l’avocasserie
des requins aux dents longues, avec leurs diplômes et licences gagnés à la
loterie foraine, ces pistonnés supposés compétents, impartiales, assermentés et
bien rétribués par le contribuable, sont absolument incompétents pour
comprendre les rudiments de la culpabilité pénale des anciens fantoches à la
présidence de la République de la coterie politique de Sarko-les-pots-de-vin, des
altiers pitres maniérés d’une incompétence si crasse pour s’imaginer que même la
qualification pénale incontestée HAUTE TRAHISON de la France par ces fantoches
usurpateurs à des puissances politiques, financières et économiques étrangères
livrant une guerre sous-terrain à la France ?
Depuis des années, j’ai exposé cet argumentaire béton à la
justice aplatie en paillasson du pouvoir par les crimes du trafic d’influence
et de la corruption, ses magistrats habitués à la soumission rampante, réduits
en laquais du crime organisés dans absolument tous les domaines. Aujourd’hui,
dans les actualités, ce beau baladin de comédie de la haute finance
déprédatrice, maître coquin Sarko-les-pots-de-vin, se lamente à cors et à cris,
sur tous les médias déchaînés, des écoutes téléphoniques légalement pratiquées
par quelques juges irréductibles, venant de relever la tête. Cet imposteur du
type klépto-démocratiste, ce guignol malfaisant qui a foulés aux pieds tels que
des méprisables déchets législatifs les droits fondamentaux de la République,
ne manque aujourd’hui pas de souffle de vilipender des juges intègres en viles violeurs
de ces mêmes sacro-saintes lois fondamentaux de la République, en raison des
suivis téléphoniques de ses combines criminelles avec sa coterie d’escrocs
patentés, conspirateurs contre la sûreté de l’État démocratique.
Précisons, (en attendant de la reconstitution de la Haute
Cour de justice), devant le ministère publique, à nos vendus cérémonieux tenant
dans leurs sales mains tous les leviers de commande de nos institutions
gangrénés: dès que les détenteurs des pouvoirs publiques se mettent
manifestement hors-la-loi pour comploter contre la sûreté de l’État au profit
des puissances financière étrangères et des trafiquants de haute et bas niveaux,
alors, « la résistance » devient parfaitement légale selon les termes
et l’esprit de la Déclaration des droit de l’homme et du Citoyen de 1789 :
un devoir, une obligation du droit constitutionnel même, des membres de la
fonction publique, même si la résistance contrevient par l’état de nécessité
aux lois ordinaires, lois devenues en toute manière lettre morte pour la
répression des combines criminelles de la haute. J’ai déjà eu l’occasion de le
détailler, contradictoire, sans réplique, aux juridictions lors du procès
contre le général de la gendarmerie nationale Christian Prouteau, ayant aussi suivie les actions criminelles
des comploteurs par les écoutes. Et, sur ce chapitre-là, il y a acquiescement
judiciaire sans réserves, dont l’irrévocabilité n’a jamais été contestée ;
acquiescement judiciaire devenu incontestable, irrévocable. Je n’ai jamais
renoncé à ma revendication d’obtenir la totalité des transcriptions des écoutes
téléphoniques, surtout celles escamotés sur l’ordre de l’ancien ministre, le capo di capo de la
mafia, Charles Pasqua, par ses séides placés de
la Direction de la Sécurité du Territoire (D.S.T). Et la manipulation de
mon égarement à Étampes 02 en Picardie, me fait profiter pour revendiquer
également les transcriptions des écoutes téléphoniques actuelle sur les
conciliabules à la sabotage du bonne déroulement de la justice dans l’arrière-Bazard
de la coterie manifestement criminelle de Sarko-les-pots-de-vin, au lieu d’adresser
des excuses absolument inconcevables à ce beau monsieur de l’UDF Frank Marlin,
au député-maire parachutiste largué sur les malheureux villageoises d’Étampes
02....
Le fin avocat matois, Maître coquin Nicolas Sarkozy de la
haute finance déprédatrice, infiltré dans les ministères, puis dans la en présidence
de la République, en garant constitutionnel parjure de l’indépendance de la
Justice, pour esquiver la contradiction légale, s’arroge sans ciller par son
tapage médiatisé de « prendre à témoin les français » menés
constamment en bateau par les médias des multimilliardaires, en vilipendant les
juges irréductibles encore, et dont la crédibilité est rabaissée par des outrages
publics et d’une logorrhée de calomnies. Ce sont des procédés de fripouilles en
vogue dans les palais de justice pour, ‑ si les spires ne parvient pas à
les assassiner tout court ‑, écraser les authentiques victimes et témoins
avisés par ce rouleau compresseur du fric des pirates de la grande finance
internationale. Toute minute d’imposture propagandiste présentée à la télé,
pour circonvenir la magistrature et rendre maboule l’électorat, est facturée
par les marchands fabricateurs des fausses nouvelles aux publicitaires du
commerce et du marketing électorale à plus de 500'000 €. Ce déluge propagandiste
des démagogues papelards, chafouins et hypocrite amplifie les préjudices moraux
des authentiques victimes du complot, exclues de la contradiction judiciaire et
du droit de réponse de la presse, démoralisées, hébétées, réduit insidieusement
au silence par le discrédit implicite jeté par ricochet sur leur propre argumentaire
sensé de leurs griefs. Or, par ce trafic d’influence présidentielle, a été
indemnisé un préjudice moral fictif à 45'000 € à l’affairiste interlope
Bernard Tapie, en sus du détournement des millions de fonds publics. Une bonne
base d’évaluation égalitaire des préjudices des vraies victimes, attestées par
les anciens matadors complaisants en tête du ministère des Finances et
directeurs du FMI experts : Dominique Strauss-Kahn et Christine Lagarde.
L’absence de la
répression judiciaire contre tous mes argumentaires sériés, d’une insolence
provocatrice recherchée, exposés aux juridictions prévaricatrices ou
verrouillées, puis étalés sur Web aux regards vigilants des sbires gardiens
policières et judiciaires du faux-éclat d’honorabilité d’un chef d’État très chatouilleux, l’étalage
au monde entière de l’opprobre d’un des plus infâmes des scélérats de
l’histoire de France, matérialise derechef un aveu comportemental intégral et
irrévocable, non seulement par le baladin de comédie lui-même, mais des aveux
par tous les composants faisandés de sa coterie complice ; des aveux par tout
son cortège des profiteurs tentant avec
grandiloquence d’introniser de nouveau par des artifices criminels des effets
spéciaux de médias leur champion des coups tordus de la conspiration contre
les droits fondamentaux de la démocratie: Maître fripon Nicolas Sarkozy. Si
l’État de droit sera rétabli, les victimes, dont le contribuable, trouveront
des débiteurs du beau linge solvable pour assurer la réparation intégrale
de leurs préjudices. (Notons en marge,
la jurisprudence sur la responsabilité civile des médias rende indemnisable
l’escamotage maline dans un reportage des informations essentiels à la vérité.
Bonjour les dégâts pour les empereurs multimilliardaires de la désinformation,
combinards de l’intox dans une jurisprudence redevenue égalitaire contre ces
gros sacs de pognon sale qui tirent profit de tous les grenouillages des
faisans politiques nageant dans les eaux troubles de leur margouillis putréfié du
Parlement).
En France, la
tentative du crime est punie par la loi
comme le crime lui-même. Les boniments captieuses débités en jets continus ces
jours-ci sur les médias, ce n’est que du vent des artifices avocassiers, des
tromperies massives visant à maintenir les électeurs dans leurs fallacieuses
opinions manipulées à l’aide de la magie captieuse des mises en scènes
théâtrales du cirque des « Bouffons de la République » en tripotage
électorale, dissimulant l’évidence sautant aux yeux de la situation
« politiquement illégitime et constitutionnellement illégale ». Mais
quand les friqués plein aux as font foutre tant des tas de média-merde dans les
yeux des spectateurs, sous l’égide de la corruption judiciaire, ces fouteurs de
merde sont bien protégé par l’écran de merde aveuglant de la funeste évidence
éclatante.
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15:02:2014. « Sacrée-Blague » au Semi-marathon.
SAINT-WITZ 95470. Val d’Oise. Région Paris.
Extrait réduit de mon journal intime sur la
« Sacrée-Blague ». N’ayant pas réussi de me dégommer à la veille du
départ, ni durant le trajet, je me suis fait gommer sur la liste des arrivant
du semi-marathon, affiché le hall du gymnase de Saint-Witz. Je passais un bon
moment à scruter de haut en bas la liste amputé à la recherche de mon nom et le
classement. L’année dernière, bouclant les 10 km, je me suis classé dans les
premiers vétérans quatre hommes sur la liste affiché dans le gymnase. Boudant
alors la cérémonie de remise des prix, j’ai rejoint sans m’attarder la gare de
RER de Foss.
Aujourd’hui, pour ce
magnifique parcours dans la campagne, j’ai choisi le semi-marathon de deux
boucles. Entre autres anciens militaires, des anciens paras m’ont
chaleureusement félicité, prenant note de mes blogs dénonçant le complot
international, attentatoire à la sûreté de l’État de la France. La jeune gente
féminin, aussi chaleureusement, me questionnait, applaudit au passage ce
schnock musclé à l’allure martial, avec sur tout le devant du teeshirt
l’insigne triangulaire du deuxième Régiment étranger des parachutistes, et au
dos, en grands lettres capitales DIETRICH13.KAZEO.FR, le site Web.
Au franchissement de la ligne d’arrivée, le traditionnel
chronomètre aux grands chiffres à cristaux liquides a été invisible. Il n’est
pas impossible que je me sois encore qualifié dans les trois vétérans quatre
hommes pour recevoir le prix. Bâclé en vitesse, la distribution des prix du
semi-marathon, dans la sonorisation détraquée, je n’ai rien pu attendre.
Cependant, j’en ai pu retenir le départ singulier, avec leur compagnie de maint
gagnant sans recevoir leurs prix sur le podium devant des spectateurs se
faisant inhabituellement rares.
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