lundi 31 mars 2014

Artifices criminelles d’occultation des responsabilités de la haute société françaises des crimes contre l’humanité.

« Les idées folles se prennent comme les maladies et celui qui en attrape une, les attrape généralement toutes. » Nietzsche.

27/03/2016. Doctrine Nazie illégalement dissimulé dans les procès relatifs aux crimes contre l’humanité.



Ridiculisés à jamais: Universitaires, juges, procureurs, avocats,  littéraires, politiques 

Mis à quia devant l’ONU, les comploteurs de la haute finance organisent les attentats terroristes électoraux qu’ils financent à la manip.

Réplique à Mediapart 2 avril 2016: une soirée pour «Penser ce qui nous arrive»

Pour penser de ce qui nous êtes arrivé, qui nous arrive et nous arrivera, la condition première est de se débarrasser des œillères culturelles, connaître les vérités de l’Histoire qui selon Nietzsche se répètent continuellement et avais déjà pensé que l’Église nous remettra ça, « son sale rêve » de l’anéantissement « de tout ce qui est noble sur terre » par des barbares stupides du genre des Francs du sacré Clovis I, l’idole de Hitler et ses nazis, des cathos intégristes, le Leitmotif des opéras de Wagner de la conflagration apocalyptique de la guerre totale. Or, un roi de France (?) a fait détruire dans la bibliothèque royale tous les ouvres historiques, philosophique et fait réécrire l’histoire par le clergé conforme au mythe de la chevalerie chrétienne, en réalité destructeur de la civilisation gréco-romaine des chrétiens primitifs et eux exterminé avec.

Et aujourd’hui encore dans l’école publique et privés, dans les universités même, ces mythes sont enseignés comme vérités historiques... Si on n’ignore le plus important crime contre l’humanité de l’Histoire par le baptême et le sacré de Clovis I, on ne comprendra jamais rien à l’œuvre maitresse de Nietzsche « Ainsi parlait Zarathoustra », travesti par les Nazis y ironisés pour en faire leur philosophie politique des surhommes ariens dénués de tous scrupules humanistes à l’égard du sous-homme dont il faut purifier la terre par l’extermination en commençant par les juifs, les gaulois en priorité ensuite pour le repeuplement (Himmler) par la race germanique.

Nietzsche fait parler ainsi Zarathoustra pour ironiser l’Histoire des « hommes-dieux fabriqués par le sacrée des barbares mérovingiens du roi Franc Clovis I, accuse Richard Wagner d’avoir plagié pour en faire une sorte de musique religieuse caricaturale des Nazis. « Par le séisme sont révélées des sources neuves. Du séisme des vieux peuples surgissent des sources neuves. [...] O mes frères ! Pour tout avenir humain où est donc le plus grand péril ? N’es ce pas chez les gens de bien et chez  les justes ? [...] Et quelques dommages que fassent les méchants, le dommage que font les gens du bien est le plus dommageable des dommages. [...] Leur bonne conscience tient captif leur esprit. D’une insondable  prudence est la sottise des gens du bien. [...]Devenez dur ! [...] O mes hommes supérieurs, avec vous je  veux parler à l’allemand et sans ambages : ce n’est vous que j’attendais dans la montagne. (Caricature de l’évêque hérétique de Reims « Remi » qui a fait appel à lui pour exterminer les chrétiens primitifs en 496 ?). [...] Mais qui m’appartient ne peut avoir des os robustes et également des pieds légers ‑ être d’attaque pour guerroyer et festoyer... [...] Dieu est une pensée qui rend tordu tout ce qui est droit et fait tourner tout ce qui debout se tient. [...] les lois de Terre ne présentent aucune valeur : Massacrez et torturez, n’épargnez point. [...] Aimez la paix comme moyen pour des nouvelles guerres [...] la guerre et le courage ont plus fait de grandes choses que l’amour du prochain. [...] J’aime les vaillants, mais il ne suffit d’être sabreur, - il faut savoir aussi qui sabrer ! [...]Brisez, me brisez donc le gens du bien et les justes. [...]  Rébellion ­‑ c’est distinction des esclaves. Que votre distinction soit d’obéir ! Que votre commandement lui-même soit obéissance ».

Nietzsche Friedrich. « Wagner répète la même chose tant de fois que l’on n’en peut plus, que l’on finit par y croire. Ps 21-22. La scène Wagnérienne n’a besoin qu’une chose : des Teutons... ! Définition du Teuton : de l’obéissance et des bonnes jambes. P.44.  C’est le plus sombre obscurantisme qu’il cache dans les voiles lumineux de l’Idéal, Il flatte tous les instincts nihilistes( bouddhistes) et les travestis en musique, il flatte toute forme de christianisme, toute forme religieuse qui exprime la décadence [...] la grande imposture de la transcendance et de l’au-delà, a trouvé dans l’art de Wagner son plus sublime avocat [...] en s’adressant à la sensualité, qui a son tour, épuise et brise l’esprit... ». Postscriptum p. 47. Le Cas Wagner, traduction par Jean-Claude Hémery. Œuvres philosophiques complètes. Éditions Gallimard Paris 1974, tome VIII, volume 1.



(Les opéras de Wagner, une musique socialement pathologique qui ont rendu fou Hitler à 16 ans par la mise en musique géniale, accumulent les pires sottises de toutes les superstitions les plus abêtissantes de la sorcellerie, de la magie blanche contre la magie noire, des hérésies chrétiennes du Moyen-âge, des fables stupides des Niebelungen associés aux Chevaliers du Graal, à la lance magique qui a achevé Jésus sur  la croix, des sirènes maléfiques combattus par les preux chevaliers germains pour le salut d’une pure princesse, finissant dans l’apocalypse guerrière du dieu Wotan avec l’au-delà avec  les Walkyries. De la mise en  musique d’un envoutant raffinement de Wagner de la mythologie germanique, la secte Thule en a fabriqué son crédo religieux combiné à la dénaturation de la philosophie de Nietzsche caricaturant le « Surhomme » germanique et l’Église dans œuvre « Ainsi parlait Zarathoustra », sans tenir compte des autres œuvres définissant comme vrais surhommes le pharisiens juifs ayant assuré la cohérence du peuple, et les Arabes en « race de maîtres » pour avoir sauvé de la folie chrétienne destructrice la culture gréco-romaine).

Étant donné qu’en matière pénale, sous peine de nullité pour fraude de la procédure, est obligatoire l’enquête sociale pour la présentation les motivations morales et politiques des criminels aux juges dans l’audience publique. Or, de ma connaissance, dans aucun procès relatif aux crimes contre l’humanité, le doctrine des Nazis ci-dessus résumé n’a été évoqué comme de droit ; car cela aurait mis en évidence la responsabilité du grand capital et de l’Église, eux parfaitement informés avant le déclenchement de la Guerre mondiale avec leur vraie complicité pénale des instigateurs. Échappé de plusieurs assassinats, comptant de la présenter notamment dans l’affaire Papon à Bordeaux et Touvier à Versailles, le régime scélérat a failli de me faire lobotomiser, a même fait voter par le parlement une loi pour la faciliter sans autre forme de procès avec une capture psychiatrique.
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31/03/14. Artifices criminelles d’occultation des responsabilités de la  haute société françaises des crimes contre l’humanité dans le trucage de la poursuite de l’ancien ministre Maurice Papon, secrétaire sous l’occupation nazie à la préfecture de Bordeaux.

Rallonge au ministère public de la contribution à l’enquête sociale obligatoire en matière d’instruction criminelle, enquête sociale supprimée dans  la totalité des escroqueries judiciaires en France, procès relatifs aux simulacres des poursuites des collaborateurs coupable de l’intelligence avec  l’ennemi dans la préparation, exécution et exploitation économique et financiers des crimes contre l’humanité, du recel des magots. Ce qui n’est pas écrit n’existe pas pour la Justice. Essai de résumer l’accumulation des faits et causes de trente ans d’obstructions criminelles de la justice française.

À notre époque 2013, après mes révélations aux historiens allemands de la suppression criminelle lors des tripotages judiciaires à Bordeaux du livre documentaire de l’historien E.R. Carmin « Guru Hitler » avec moi, le commentateur et rapporteur passé sous silence en France, sont poursuivi en Allemagne les derniers survivants exterminateurs de la division Waffen SS « Das Reich », et quelques anciens gardiens subalternes des camps d’extermination en Allemagne retrouvés tout à fait au fond les oubliettes de l’histoire. Or, ces vieillards-là aujourd’hui, à l’époque des crimes leur imputés, ne comptaient guère plus de dix-huit ans, sont plus victimes du conditionnement mental par le matraquage propagandiste dans l’enfance que coupables devenu adolescents savamment formatés en  surhommes ariens missionnés par des fantômes de l’Au-delà à l’épuration raciale des méprisables sous-hommes selon le crédo d’une secte des mystiques frapadingues. Hitler, le « magicien noir » a été le gourou pontife de la secte Société Thule des prétendus surhommes de souche extraterrestre, au-dessus des méprisables lois des nuisibles parasites terrestres : « les lois de Terre ne présentent aucune valeur : Massacrez et torturez, n’épargnez point ». E.R. Carmin, page 4 des blogs.

Voici un aperçu très condensé des non-dits devant les cours de justice en France, usurpant la compétence exclusive des deux Hauts Cours de  justice 1944 et 1958, de ces écœurants galimatias mystiques, ayant formaté les esprits malades des mystiques à des génocides. La société Thulé fondée par un aristocrate obnubilé de la métaphysique des visionnaires désaxés, n’a pris naissance qu’en 1918. Le crédo confus et incohérent de la secte syncrétique est bricolé par un incroyable fouillis des élucubrations glanées dans les superstitions insensées  des sectes et ordres plus anciens. Ces élucubrations biscornues ont été déjà ironisées par Nietzsche en 1881 dans son chef d’œuvre de la philosophique « Ainsi parlait Zarathoustra », analysé sommairement dans la page 4 de mes blogs. Un grand classique de la philosophie parfaitement connue par  le club littéraire française de Charles Maurras et de ses prétentieux compères de l’Académie française : « au porc tout devient porc », leur propre caricature, par la dénaturation de la lettre et de l’esprit de l’œuvre du grand Nietzsche, exécrant l’occultisme des devins et astrologues, est proclamé idéologie officielle des Nazis. Mais écrit-il : « C’est la bonne guerre qui sanctifie toute cause », même les plus aberrants, atteste l’histoire de l’humanité.

Les idées force de la société Thulé pratiquant toutes les divagations de l’occultisme,  l’astrologie, l’ésotérisme, télépathie et d’autres fariboles de cette veine, sont inspirées d’un amalgame d’anciens mythes scandinaves et tibétaines débiles sur l’origine extra-terrestre de la race aryenne des surhommes blonds aux yeux bleus, immigrant sur la Terre d’une planète gravitant autour d’un « soleil noir ». Les frapadingues de la société Thule croyaient à la venue du Messie de l’Ancien testament, apportant à la race germanique la gloire et une nouvelle culture. Et voici leur tombe du ciel Hitler, magicien noir de l’Ordre nouveau.  La persécution et l’extermination prioritaire des Juifs, bref, est justifiée par l’Évangile de Mathieu 21,43 : la déchéance du peuple chéri, élu de Dieu, aurait été prononcée par l’anathème du doux Jésus agonisant sur la croix. Par les fabulations sur les dernières soupirs du doux Jésus, les mystiques substituent aux Juifs en peuple sacrée, des aryennes blonds, aperçus par ce Sauveur Jésus de la haute de la croix, en vaillants mercenaires des Légions romaines. C’est ainsi les mystiques écrivent l’histoire.

 Auparavant en 1909, l’artiste peintre Hitler, initié par un libraire occultiste de Wien, fut à  l’âge de 20 ans déjà un grand adepte du mysticisme délirant. À l’aide des cocktails de drogues hallucinogènes, du peyotl au Strychnine notamment, l’apprenti sorcier s’imaginait déjà avoir atteint des niveaux de conscience supérieurs pour forger les bases de sa vision future du monde... pour rater sa carrière artistiques... pour atterrir en clochard dans les bouges nauséabonds de la ville.

Comme pour bien des détraqués de cette espèce, engagés volontaires tolérés faut de mieux pour combler le vide les rangs de la chair à canons ayant subis des pertes énormes, la discipline militaire et la souffrance de la guerre les remette à l’aplomb. Invalidée par le gazage de combat, le caporal Hitler s’est fait exercer son art oratoire captieux en tant qu’instructeur politique à l’endoctrinement des bidasses dans un régiment. Juste après la Grande Guerre, a été tôt reconnue par le général Erich Lüdendorf, la magie fatale de l’éloquence électrisant la foule de son petit caporal gringalet Hitler. Lüdendorf, ce plus grand criminel de guerre impénitent et revanchard de la Première Guerre mondiale, auteur du traité stratégique éloquent « La Guerre totale » à réorganiser, n’a jamais été inquiété par la justice.

 Disposant les fonds nécessaires dans l’Allemagne aux finances asséchées, cet éminent stratège employait à ses débuts « la grosse gueule autrichienne » en agent subversif dans des tournés des brasseries et comptoirs des gargotes pour déstabiliser le régime démocratique du gouvernement Weimar avec son slogan « le poignard dans le dos » de l’armée victorieux par des politiciens corrompus. Convaincu des talents du fascinateur des foules de ce rare spécimen de magicien noir, Lüdendorf, le stratège dénué de tout scrupules, a su persuader des financiers de parvenir à ses fins avec une certaine amélioration de la culture primaire de son miracle de caporal délirant et de la rectification de son allemande rudimentaire aux charmantes intonations autrichiennes.

Ainsi, l’histoire officielle avec la justice, en imputant à la magie oratoire seule d’Hitler la responsabilité fatale de la Deuxième Guerre mondiale, mystifie les primordiales influences académiques et littéraires structurant son délire idéologique passablement incohérent. Sont masqués les fournitures des moyens financiers et médiatiques : forces du pouvoir économique des industriels et de la haute finance internationale, forces des financements occultes massifs, œuvrant en coulisse à la couverture judiciaire, diplomatique et journalistique de la liquidation meurtrière de l’opposition, souligne l’historien allemand E.R. Carmin. Jamais la position politique dominante n’eût pu être conquise par le gourou halluciné Hitler avec sa secte des dégénérés de la haute société civile et militaire. Le magicien noir reconnu irresponsable par ses promoteurs, est le pur produit d’une conspiration combinatoire de l’aristocratie de sang et du fric, se servant des artifices des littéraires et journaleux.

Cette providentielle psychose du gourou accueillie en Messie envoyé de Dieu, psychose aux effets morbides de la fascination subjuguant, hypnotisant les hommes-masse, a été parfaitement reconnaissable de la psychiatrie clinique de l’époque, notamment par la psychiatrie légale lors de son incarcération après le putsch manqué de Muniche de 1923, fomenté par le général Lüdendorf. Emprisonné à la prison Landsberg durant 264 jours, sa culture délirante fut structurée par l’intelligentsia nazie : des professeurs d’université, des médecins, écrivains, journaleux, devins...

C’est en prison lui a été enseigné par un professeur d’université la notion « Lebensraum », (espace vitale), dont une race supérieure dispose du droit naturel de conquérir par la force exterminatoire des races inférieurs résidents ; par « l’extirpation » comme des mauvaise herbes surenchérit l’agronome raté Himmler.  « Des créatures ne valant pas plus que celles des poulets », harangue ce Himmler à ses troupes d’exterminateurs assermentés des Waffen SS, dont des français.

 Il est incontestable, en 1924, ces idées directrices du crédo politique des nazis « du nouvel ordre social », sont exposées au monde entier par le best-seller « Mein Kampf », traduit en plusieurs langues. Nos doctes écrivassiers inspirés par le cercle Maurras de l’Académie française, derrière eux les financier, industriels et politiques vendus, ont été suffisamment lucide pour se rendre-compte du désastre humanitaire de leur adhérence à cette doctrine de la folie galopante ou de l’exploitation pour amplifier les marges des bénéficiaires de leurs investissement dans l’industrie de guerre.

Addendum rectificatif. La philosophie politique de Charles Maurras de « l’ordre spirituel, garantie nationalisme intégrale de l’Église catholique romaine », fut condamnée par le Vatican Pie XI et réhabilitée en 1939 du pontificat de Pie XII. Néanmoins, écrivain et journaliste théocrate subversif hors-pair, l’antisémite Maurras, fut un des principaux pères spirituels passionnés de la préparation les esprits salonnards mondains à la haute trahison de la France aux Nazis.

 L’invalide Maurras, dépourvu de toute culture scientifique, peut être défini en génial sophiste mystique, divaguant d’une contradiction à l’autre, critiquant des systèmes politiques par une des raisonnements spécieux et terminologies équivoques pour finir les faire approuver par ses émules ; critique en système « césarien » le système du despotisme mystique de l’Hitlérisme délirant dont il devient un de ses suppôts.
 Pour Maurras, apologue de l’ancien régime monarchique dont le  pouvoir est basé sur l’hérédité d’une successions de bons rois sacrés, « le serf avait sa glèbe et l’esclave sont maître ». Le prolétaire « n’est qu’un sauvage, un vagabonde sans titre », sans scrupules de l’avenir des gens, « appliquant son effort à gagner beaucoup en travaillant peu ». Les juifs, eux, il faut les mettre à bas, parce qu’ils sont montés beaucoup trop haut chez nous.


Le visionnaire morbide prophétise ce qu’il a pu constater déjà en Allemagne par la montée délirant du nazisme dans les années 1923, ce qui s’est produit ensuite en France sous l’Occupation pour se poursuivre dans le régime gaullien en 1958 jusqu’à présent: « l’heure arrivera où les classes ignorantes auront seules les représentants du pouvoir. [...] Ce qui est illégitime sera légal, ce qui est antisocial sera à la tête de la société. Les ennemis de  l’ordre public commanderont la force publique. Les brigands occuperont le Ministère de la justice et nommeront la magistrature. Les voleurs auront à leurs ordres la gendarmerie... »  « Rien n’est fini. Et si tout passe, tour revient ».

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Cependant, ni le crédo de la secte Société Thule, ni le programme politique du parti nazi officialisé sans ambages par la profession de foi d’Hitler « Mein Kampf » a été admissible à  l’époque par le peuple germanique, en majorité des chrétiens croyants, bornés sur les questions de la foi, intolérants à l’égard des drôleries de l’hérésie et dont l’intelligentsia lucide se gaussait ouvertement. Elle regrettait dans les camps de concentration, avant d’expirer, affamés, sous des volées des coups de triques des SS, d’avoir sous-estimé le pouvoir de fascination sur « les pauvres d’esprit » par des habilles mises en scène des médias des délires des fous : les pires des élucubrations  bien présentées sont accréditées. En est une preuve historique éloquente du rejet majoritaire de la fantasmagorie gesticulante du tribun Hitler, le titre complet du ministre du Reich « de l’éducation du peuple » et de la propagande du Dr Josef Goebbels avec sa thèse de doctorat de philosophie  « Sang et Honneur ». 

Les savants doctrinaires nazis, éclairés par la philosophie de Nietzsche et les préceptes pervers du damné jésuite Weishaupt, ont réalisé des effets fatals de la scénarisation du délire des fous à lier par des médias sur les esprits crédules du menu peuple allemand de l’époque, notamment par l’utilisation massive des nouvelles procédés de la fabrication de l’opinion publique par la manipulation psychologique: la propagande radiophonique et de la sonorisation électronique tapageuse des lieux publics. À partir de 1933, le matraquage propagandiste de nazification des esprits d’un peuple crédule fut réalisé par la sonorisation des grandes rues des villes.  Par l’assassinat des tribuns contradicteurs de l’opposition totalement liquidée en 1933, l’homme de la rue moyen finissait par prendre comme monnaie courant des élucubrations contagieuses des fous à lier inspirés du « Mein Kampf », bouquin mis bien visible dans sa bibliothèque, si ce n’est que pour se prémunir d’une inspection domiciliaire du Service de Sécurité de  l’SS, suivie de la rééducation musclée dans un camp de concentration.

Dès les années 1924, la grande finance internationale, dont de la France, pourvoyait en fonds secrets ce parti micro-minoritaire des fous à lier, alimente les caisses des propagandistes délirants, de ces mercenaires de la littérature sous la haute direction du Docteur Goebbels, ministre du Reich d’éducation du peuple de propagande et avec les idées assassins de sa thèse universitaire de philosophe « Sang et Honneur » (Blut und Ehre). Graduellement imprégné des idées folles de la magie noire, le peuple allemand, finissait de voir dans Hitler un envoyé providentiel du Ciel, le thaumaturge apte de hausser « les balayeurs de race germaniques en rois » dans le « Lebensraum » conquise par la nouvelle guerre mondiale exterminatrice sous la direction des élites du parti nazi, des surhommes SS « sans cœurs » (Nietzsche) aux uniformes noirs, « portant sur le devant de leurs casquettes l’insigne de la mission que « le Ciel attend d’eux » : la tête de mort. Dans les années 1880, le grand Nietzsche voyait déjà arriver ce désastre, en maudissant la manipulation journalistique d’un peuple bêtement discipliné, « un peuple cavicorne », d’un horizon intellectuel bornée par le journalisme débilitant de l’époque et par la consommation excessive de  la bière. (Le général De Gaulle émit des gentillesses semblables sur son cher peuple des « beaufs » apérophile, se délectant de renifler les miasmes putrides des médias scatologiques).
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Or, par les violences de mon élimination criminelle dans les procédures judiciaires trentenaires contre Maurice Papon à Bordeaux, a été mise en scène la substitution criminelle en témoin à charge, un de ses illustres collègues, ministre au gouvernement gaulliste. Le Baron Olivier Guichard, un jeune homme d’alors, en secrétaire d’un criminel contre l’humanité d’une autre envergure que l’ancien préfet de Bordeaux René Savatier, chef hiérarchique de son zèle secrétaire Papon avec sa manie d’inspecter les graffitis antinazi dans les chiottes de la Préfecture. À l’instar de l’ancien ministre gaulliste tripoteur Papon, le Baron Olivier Guichard, ancien ministre et maire déprédateur des finances de la ville La Baule, a été en même temps justiciable par la Haute Cour de justice 1958.

 Vous pouvez vous dispenser de chercher sur internet la biographie de son glorieux papa, du capitaine de Corvette Louis Guichard. Presque toutes les informations significatives sont nettoyées. Sur Wikipédia le 23 mars 2014, l’illustre officier de carrière de la Marine nationale est diminué en insignifiant homme politique de province, un pétainiste repentie, un de ces nombreux caméléons venant même voler au secours de  la victoire par des actes de résistance de la dernière heure. Par les artifices des mascarades judiciaires, maint de ces traitres criminels s’est retrouvé décoré, tels que Maurice Papon placés au sommet de l’administration et du gouvernement. Comme maint rejeton pistonné du gratin de la magistrature se trouve souvent placé dans la situation personnelle ou familiale similaire, leur sage justice estime toujours innoncents la dissimulation du prestigieux officier supérieur, de son passé du grand capitaine de la Marine, menant les électeurs et justiciables magistralement en bateau en homme politique double, quêteur infatigable des suffrages à l’aide des financements inavouables de ses tromperies.

Ainsi, la magistrature prévaricatrice a rendu possible au noble fiston, de faire redorer le noble blason familial en témoin à charge devant les assise à Bordeaux. À Saint Nazaire en 1994 aussi, a été supprimé mon déclinatoire de compétence au profit de la Haute Cour de justice version 1958 par  la juge d’instruction Mme Gwegola Joly et le ministère public. Le ministre-maire Baron Olivier Guichard du Rotary fut là-bas poursuivie du détournement de plusieurs millions de fonds publics. On comprend le refuse par des juridictions à procéder à l’enquête sociale obligatoire sur son sombre passé durant l’occupation nazie, quand on sait que des constatations, « aussi faible soient les charges », exigeaient ipso facto la saisine « sans délais » de la Haute Cour de justice.

 Or, en même temps, avec l’empressement zèle, ces magistrats assermentés n’ont pas hésité de me diminuer en procédurier par la référence faite aux procédures en Suisse de mon irréprochable père Paul Dietrich, et sans se soucier des objets et causes de ces procédures : un intéressant conflit avec des officiers déserteurs de l’Armée suisse, passé dans la Waffen SS pour revenir au pays sans en être inquiétés. J’ignore si les actes de procédure, si elles existent encore par miracle chez l’avocat de mon père et dans les archives des cours de justice de Winterthur et de Zürich, relatent la tentative d’assassinat par les nazis suisses furieux de mon père avec moi enfant dans l’année 1943, en « excursion d’éducative » sur une embarcation touristique naviguant sur le Rhin.
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Revenons à la culpabilité pénale de l’adolescent d’alors et à leur conditionnement mental par le journalisme ordurier des médias d’alors, dans les mains, en Allemagne comme en France des spéculateurs effrénés de la grande finance ou de l’industrie. En France, un peu moins qu’en Allemagne, les esprits simplistes des hommes de la rue ont été conditionnés à l’acceptation du régime scélérat des nazis par un matraquage médiatique systématique. Insidieusement, des Français ont été conditionnés mentalement à souhaiter la trahison et la collaboration et aux crimes contre l’humanité par les procédés de désinformation et de l’intox. Il suffit de lire les sublimes littéraires stipendiés de l’époque du cercle des promoteurs des « surhommes élitistes » Charles Maurras et Léon Daudet, (soutenus par des fonctionnaires et militaires de haut rang), leur morale rétrograde condamnée par quelques prélats catholiques marginalisés par le Vatican du Pape Pie XI. Ces prélats imputaient à ces mégalomanes pernicieux de l’Action française « vouloir faire rétablir l’esclavage  des imbéciles d’hommes non-lettrés dégénérés » par « l’élite des hommes instruits », car, «  la morale naturelle prêche la seule vertu qui est la force... ». (L’  « Action Française et  le Vatican. Pièces d’un procès. Préface de Charles Maurras et Léon Daudet. Édition Ernest Flamarion 1927). Coopté pour compléter les rangs des illustrissimes membres snobinards, les bousiers de l’Académie française jalouse de ses effluves miasmatiques, à la libération l’Académicien Maurras, l’apologue des crimes contre l’humanité, s’est tiré par condamnation pour intelligence avec l'ennemi à la réclusion criminelle à perpétuité.

Quand on a des poils dans la main et des ménages altérés par l’alcoolisme et la toxicomanie, quand on n’a que la plume acérée pour vivre, on est bien contraint de se débarrasser de tout sens critique, hurler avec la meute des loups du journalisme vénal appointé des magnats des cartels de la finance et de l’industrie, propriétaires omnipotent de  la quasi-totalité des médias en France. Se conformant à leurs vœux, ces scribouillards salonards aux belles plumes préconisant d’en finir avec la République dans le plus pure style du gangstérisme nazi, dressaient l’opinion public contre les juifs, allant jusqu’à leur imputer les sinistres du débordement de la Seine lors des pluies diluviens (sic). Par cette littérature putride des salons de la belle compagnie nantie, des esprits médiocres du régime politique et de l’armée ont été insidieusement   engoués de la haute trahison, rejoignant de gaité de cœur les rangs de la cinquième colonne, dont la « Cagoule ».

Cette organisation clandestine d'action révolutionnaire nationale, dirigée par des littéraires hallucinés, comprenait les grands commis de  l’État, des hauts magistrats de  l’ordre judiciaire et administrative, rejoints des sommités de l’Armée, endoctrinés à la haute trahison par le cercle  littéraire salonard et journalistique des manipulateurs mercenaires accrédités par le faux brillant aveuglant de l’Académie française.

 Une partie des « cagoulards » s’est adhérée au régime de Vichy, formant les sections spéciales des tribunaux sévissant contre les résistants. L’autre partie à rejoint l’Angleterre pour se rendre utile à l’invasion par l’opération combinée « Lion de Mer » avec  la participation de la marine française dans le dessein sacré de hisser de nouveau au trône de l’empire britannique le duc Éduard de Windsor, ami intime de Hitler et adepte de sa secte des hallucinés toxicomanes. L’organisation de la subversion et du sabotage de la défense nationale des cagoulards fut massivement soutenus par le financement des industriels français. Le plus intéressant connu est sans doute l’industriel richissime Schueller de cette société Oréal dont les propriétaires milliardaires ont arrosé aussi l’avocat, le maître fripon Nicolas Sarkozy, derechef miraculé de la justice en faisant casser les reins à la juge d’instruction de Nanterre intègre Isabelle Prévost-Desprez par la Cass.

En France occupée, toute cette bande des écrivassiers mercenaires travaillait les esprits gobe-tout pour les formater à la collaboration militaire et politique du crédo de l’extermination des juifs et les météques, sans que la justice ait sérieusement cherché à la victoire de déraciner les fondements du mal des mystificateurs militants. À peu près seul, Robert Brasillach, le plus illustre d’entre eux, payait pour apaisement de la vindicte publique. Après avoir tiré des bénéfices, comme ses homologues, de sa belle plume captieuse de la subversion de la troisième République, et œuvré à l’appel louangeur au thaumaturge Maréchal Philipe Pétain, sous la direction du ministre du Reich de l’éducation du peuple et de propagande Dr Goebbels, l’habille journaliste couvrait en ex-Union soviétique les exploits assassins de la Légion des Volontaires françaises et de la Waffen SS, réunis ensuite dans la Division SS Charlemagne paradant avec le drapeau de la France.

 Avec leurs belles plumes captieuses, des écrivains journalistes de la farine moisie de Robert Brasillach, travaillait les esprits primitifs des français pour les subjuguer psychologiquement, les excitant de massacrer les résistants français sans égard du sexe ou de l’âge, à s’engager massivement dans la Waffen SS ou dans la Légion des Volontaires français glorifiés pour perpétrer des massacre dépassant largement le massacre en France d’Oradour-sur-Glane. Brasillach est un de rares ensorceleurs des masses qui fut fusillé le 6 février 1945 au fort de Montrouge. De son homologue toxicomane « Céline », miraculé de la justice avec son appréciable fortune après son extradions, de lui ou de ses éditeurs, de ma connaissance aucune victime de sa littérature pernicieux a obtenu réparation par l’allocation judiciaire des dommages et intérêts. Un autre de la pléiade nazie de la littérature capiteuse, après la libération, fut même admis à l’Académie française. Or, ce sont ces prétentieux esprits détraqués, soudoyés des financiers, qui se trouvent, avec eux, à la source même des crimes contre l’humanité des nazis.
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S’est manifeste en Autriche, par le Front national patriotique du régime bancal des années 1934/38, avec le symbole de la Croix potencée, le même courant de la philosophie politique rétrograde, réalisait la suppression pacifique des partis politiques, dans le but de restaurer les privilèges aristocratiques, ecclésiastiques et corporatistes de l’ancien régime du Saint Empire germanique. Des plus malins des forces oppositionnelles dissoutes et passés dans l’anonymat, le régime despotique d’Autriche en est infiltré doucettement et manipulé de l’intérieur. À l’annexion au Troisième Reich millénaire,  les cadres de ce régime bizarroïde de la gauche et de la franc-maçonnerie furent déportés manu militari et sans autre forme de procès dans les camps de concentration et exterminés, toutes les tendances confondus. Comme auparavant en Allemagne, de l’extermination de juifs, les Nazis ne se préoccupaient qu’après l’anéantissement des forces politiques de l’opposions germanique.

Le prétendant frustré du saint impérium germanique d’Autriche, le Archiduc Otto von Habsbourg, fut un des célèbres « copains et coquins » du Rotary club du régime des pervers de la France : «Dans cette assemblée de ruffians, d'escrocs de trafiquants et de barbouzes [...] on y rencontrait aussi des hommes politiques qui faisaient de la politique pour faire du commerce et tous ceux qui donnaient dans l'espionnage, le renseignement et le trafic d'influence». (Jean Larteguy).
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Extrait des principes de direction politique universellement appliqués du Chanoine jésuite Adam Weishaupt, professeur en droit, principes ici matérialisés: « Le premier secret pour diriger les hommes et d’être maître de l’opinion publique est de semer la discorde, le doute et créer des points de vue opposés, le temps nécessaire pour que les hommes, perdus dans cette confusion, ne s’y retrouveront plus et soient persuadés qu’il est préférable de ne pas avoir d’opinion personnel quand il s’agit des affaires de l’État ».

Repassons au sujet relatif des scribouillards captieux enrichis avant et pendant l’occupation nazie par leurs sponsors friqués pour retenir parmi eux le talentueux jeune homme Robert Hersant. Dans son torchon « Au Pilori », publié sous l’occupation nazie, ce journaleux ambitieux a dénoncé à la Gestapo maints valeureux opposants et résistants française, ainsi que des juifs nantis à plumer. Combien a-t-il fait trucider par sa plume dans les camps de concentration ? Comme bien d’autres de ses congénères, le journaleux Hersant a été épargné d’une condamnation appropriée par la Justice, se voyait accorder des circonstances atténuantes de son jeune âge.

 Un jeune talent pareil de manipulation  journalistique de l’opinion, sacrebleu ! ça se récupère ! Grace à des subventions publics et prêts à fonds perdus, Hersant a réussie de construire un empire de presse, lançait dans l’arène politique jeune avocat Me Jean-Marie Le Pen en leader du parti néo-nazi « Front national ». La presse Hersant fut en premier ligne pour me diminuer à Toulouse par l’escamotage dans ses articles de la rubrique des chiens écrasés, par la dénaturation subtile la vérité des événements exposés à la cour en audience publique. En réalisant la perspective des profits à tirer de la conspiration du silence sur mes interventions congrue dans l’affaire Papon, la presse Hersant aussi a été une de celles qui masquait mon existence par l’inondation des interminables et énormes reportages à ne plus finir des clichés rebattus et recycles. A fait ses preuves, la désinformation par la surinformation du rabâchage ennuyant, trop rébarbatif pour être suivi par les communs des lecteurs écœuré.

Par la magie des injures à mon adresse, combinée à la désinformation, l’intox fut organisé en coulisse mon éloignement des grands procès médiatiques, tripotées aux fins de la propagande politique, tels que celui des massacreurs SS d’Oradour-sur-Glane. En suscitant mon isolement social par d’autres procédés plus criminels encore, ces fabricateurs de l’opinion, (le père Bouygues se targuait même de fabriquer les futurs chefs d’État), ont couvert les crimes de suppression de mes actes de procédures régulièrement et contradictoirement produits dans ces grands procès spectacle. Ces fabricateurs pernicieux de l’opinion de mes proches, m’ont réduit durant plus de vingt ans en solitaire mise à l’index et auquel tout le monde tournait le dos, refusait de lui adresser la parole. Ces fabricateurs pervers de l’opinion ont réussi de stériliser ma science congrue dont pas un maître au palais, même pas mon prof du Droit de l’Académie française, n’osait de controverser de crainte de se faire ridiculiser.

Pour m’éclipser, réduire mes lumières en veilleuse menaçante, sont concerté par les ministères des actions combinatoires dosés selon les besoins de la situation particulière en présence : des harcèlements tout azimut de la Poste même cherchant à l’aide de mon compte mis en sommeil obtenir mon interdiction bancaire ; sous la direction et l’égide de son ministre des Finances, assignées sans contredits devant la Section du contentieux du Conseil d’ État, furent machinés des exactions avec violation de mon domicile du fisc menaçant, produisant illégalement la vidange de mon compte à la Banque Crédit Lyonnaise.

 « Il est une espèce de bonnes gens qu’on appellerait bêtes, mais à qui il ne faut pas le dire, parce qu’on peut tirer quelque avantage de leur sottise »... Extrait des principes de direction politique universellement appliqués du Chanoine jésuite Adam Weishaupt, professeur en droit.

 De son côté, « le juge rouge » Bidalou, instrumentalisé par des ministres de l’Intérieur tels que Pasqua, l’avocat Debré junior... ; des ministres de la Justice tels que Peyrefitte, Chalandon, Toubon, Méhaignerie...  mobilisait contre moi ses troupes des associations de défense des victimes de la Justice. Des abrutis amadoués, fourvoyés, affluant de partout de la France, allant jusqu’à des rassemblements nocturnes de la vindicte de lynche dans ma sphère de vie à la ville La Courneuve, me harcelant par des insultes dans le parc tout au long de mes exercices sportifs du coureur.

 Selon les déclarations du « juge rouge » Bidalou, intervenant dans la procédure correctionnelle contre le général de la Gendarmerie nationale Christian Prouteau, ce dernier aurait fait suivre cette opération criminelle par des écoutes téléphoniques de lui-même et ses groupies, des avocats et des ministres. Le « juge rouge » Bidalou l’a durement ressentie par ma mobilisation à la dernière minute à l’aide des procédés détournés pour anéantir son opération de déstabilisation médiatique du président de la République François Mitterrand en compagnie du malfaiteur, le lieutenant-colonel Yves Chalier, instrumentalisé lui aussi contre moi à Bourges par le ministre de  l’Intérieur Charles Pasqua après l’attribution du fameux « vrai-faux passeport » le conduisant l’ancien officier des services secrets au Brésil dans le giron éducative de la mafia.

 Autant des motifs militants pour l’interruption de délais de prescription et des nullités des actions policières concomitants, des décisions juridiques de toute cette immense masse des procédures truquées, viciées par la fraude collusoire des « fonctionnaires » au sens large du terme du droit pénal : une authentique association de malfaiteurs concertant « en bande organisé » contre les lois et contre l’exécution des lois. Ce sujet est loin d’être épuisé.

 L’opération combinatoire fut interrompue par la mise à sac de mon domicile par les Ripoux dirigés par le ministre d’Intérieur Sarko-les-pots-de-vin, de ma capture, séquestration et tortures me réduisant durant des mois à l’inactivité en état de la semi-hébétude. N’empêche, selon la thèse développée dans mon projet pour le doctorat, « le dommage aléatoire par la perte d’une chance et de la création fautive d’un risque », je n’ai  pas perdu une chance, j’ai perdu un droit ouvrant le droit à la réparation intégrale d’un dommage certain, si bien que l’indemnité due est celle l’activité habituelle : jour et nuit sans désemparer à l’aide d’une mnémotechniques spéciale.

 Sont aussi admis de réclamer en justice la réparation intégrale de leurs préjudices subis par ricochet, des innombrables victimes de la neutralisation de mes actions, de l’assassinat de mon porte-parole, l’ingénieur général Samy Albagli (***), de mon compagnon Louis Baylé dans le Tarn avec maintes autres. Des victimes, il y a un beau paquet... La thèse avortée pour le doctorat au sujet de la responsabilité civile pour création fautive de risques par action ou abstention coupable ayant produit des pertes de droits, ouvre à cette masse des plaignants couillonnés des voies de recours contre une masse de débiteurs du beau monde des profiteurs solvables. Des détails ont été expliqués dans mon précédent exposé.

 La présentation de la thèse pour le doctorat fut déjouée par mes professeurs d’université de droit « Panthéon-Sorbonne », dont un avocat, dignitaire de l’Académie française.  Devant des juridictions statuant manifestement hors-la-loi, le prestigieux notable n’a pas pu résister aux sirènes du fric. Appelé de la partie adverse en défenseur de leur cause pour neutraliser virtuellement son propre enseignement universitaire référencié par moi à la Cour dans les poursuites judiciaires des fraudeurs et corrupteurs des filiales de Bouygues, associées au dernier survivant du gang des proxénètes et truands Zemmour et aux juges de la clique du substitut J.P. Marchi, appointés par la pègre parisienne.

 Si les détenteurs des pouvoirs réels ne m’ont pas carrément éliminé par l’assassinant, c’est que moi, avec ma science amplement documenté, dans les conciliabules de l’arrière-boutique de la politique des couloirs présente une monnaye de échange d’une valeur actuellement difficile à apprécier : décorations, avancements, portefeuilles ministériels, fonctions gouvernementaux, financements occultes des élections, pots-de-vin, blanchissements judiciaires des criminels de la haute..., modification de la loi réprimant l’escroquerie, disparition des dossiers afférant dans le palais de justice de Paris... De nouvelles découvertes et révélations n’ont pas finir de surprendre.

Par une interprétation a fortiori de l’article 7 notamment de la Déclaration des droits de l’homme de 1789, Préambule, (pour combien de temps encore ?) de  l’actuel constitution, tout membre du gouvernement, tout magistrat de l’ordre judiciaire et administrative, tout fonctionnaire est tenu de réparer personnellement les dommages intentionnellement causées aux victimes, dont le contribuable. La substitution légale par le fonds publics aux débiteurs de la responsabilité pénale, viole déjà allégrement le droit fondamental de la République égalitaire.

Tel un cheveu sur la bonne soupe, me voyant arriver télécommandé avec mes gros rangers du juteux para dans leur arrière cuisine judiciaire, sauter  carrément pieds joints dans les plats au beure de la corruption judiciaire omniprésente, les magistrats tripoteurs de Cour de cassation se sont tartiné doucettement une jurisprudence de principe contra-legem : la création d’une l’immunité des crimes des magistrats fraudeurs, escrocs et faussaires, s’ils sévissent en formation collégiale, en raison du secret des délibérations, fabulent-ils sans être controversés. La victime est admis de poursuive au pénal le juge faussaire unique, mais non si les tripatouilles se mettent à trois ou plus dans l’exécution des crimes de forfaiture. « Liberté, Egalite, Fraternité ». C’est logique ? Non ?

Or, la collégialité des formations des jugements est une disposition légale protectrice des justiciables contre les forfaitures, et certainement pas une disposition protectrice insensée des magistrats prévaricateurs contre les plaignants des crimes manifestes. Cette grotesque disposition de la jurisprudence de principe, viole visiblement le sacro-saint principe républicain, garantie par le droit constitutionnel, de l’égalité des citoyens devant la loi et de la justice. C’est la raison pour laquelle, l’immunité pénale légale ne protège exceptionnellement que le Chef d’État durant l’exercice de ses fonctions. L’égalité des citoyens devant la loi exige qu’à ces magistrats aussi s’applique les circonstances aggravantes du droit commun des crimes perpétrés collégialement, « en bande organisé », et, des circonstances encore bien plus aggravantes par des  « fonctionnaires coalisés concertant contre les lois et contre l’exécution des lois ». Dans un État de droit, il devrait être risible pour un juriste digne de ce nom, de voir apparaître une immunité jurisprudentielle de principe pondue des magistrats accusés des forfaitures criminelles notoires, une immunité contra legem pour forte que celle de la Constitution accordée au Président de la République.

Extrait des principes de direction politique universellement appliqués du Chanoine jésuite Adam Weishaupt, professeur en droit, principes ici matérialisés: « Il faudra choisir les futurs chefs d’État parmi ceux qui sont serviles et soumis inconditionnellement aux Illuminés et aussi parmi ceux dont le passé est entaché d’un coin de secret. […] Ainsi, il sera possible aux Illuminés de contourner les lois et de modifier les constitutions ».

Ainsi baves citoyens éblouis, ne comptez surtout pas sur les fantoches du Conseil constitutionnel pour faire respecter vos droits fondamentaux de  la République. Preuve, jamais a été examiné cette évidence d’ordre publique ci-dessus exposée. Les érudits « Bouffons de la République » préférèrent de loin se livrer aux crimes de suppression des actes de procédure explicatifs, falsifier les décisions en niant l’existence de ces actes régulièrement présentés, ou, par des crimes de faux en écriture authentique par omission gardant la silence sur le contenu auquel la loi les oblige de répondre.

Comment voulez-vous faire respecter vos droits par cette juridiction, gardienne du droit constitutionnel, peuplée des canailles et de leurs obligés ? Comment voulez-vous faire préserver vos droits fondamentaux par les plus caricaturaux violeurs de la légalité, usurpateurs des fonctions publiques à l’aide du crime organisé ? Comment voulez-vous  obtenir justice des malfaiteurs ostentatoires, pour la plupart miraculés naguère par la Haute Cour de justice, sabordée de cette canaille de la haute pour éviter d’en être poursuivie, jugé et condamné ? Auriez-vous espéré la fermeture de leurs prospères bordels clandestins par les proxénètes du gang Zemmour eux-mêmes ? (*) Le Conseil constitutionnel, cette Cour des miraculés est enrichie par le miracle Sarko-les-pots-vins, fanfaronnant en ce moment sur tous les médias sa victoire aux victimes abattues du complot judiciaire de sa coterie des conjurés scélérats contre les droits fondamentaux de la France.

 (*) Le recel des produits du proxénétisme est incriminé comme le proxénétisme lui-même, mais jamais appliqué, comme de droit, aux sources polluées du financement politique, non plus à la corruption des juges.
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Par l’active contribution propagandiste aux élections des victimes estampées de la Justice, un nouveau grand capitaine menant les français en bateau est placé aux commandes de la barre du système en dérive. N’empêche, le mièvre tribun bonasse ayant mystifié la foule, est forcé faire montre de beaucoup-beaucoup de doigté, souplesses et connivences. Sa rombière de salonarde attifée ambitionne se faire coopter à l’Académie française avec ses tristes navets par sa fripouille escroc des faussaires et trafiquants : du gibier de potence de la jaquette verte, enjolivé des broderies argentés, malfrats notoires aux belles manières, justiciables par cette Haute Cour de justice dont la mise en mouvement de l’action ils ont subrepticement paralysée par les machinations du crime organisé dans toutes ses cas de figure.

Le feu négrier Alain Peyrefitte, en ministre de justice, n’a-t-il pas fait endiguer le cours normal de la justice en éliminant dans mes voies jusqu’à la cass, par les crimes de suppression des actes de procédures et faux en écriture publique la présentation des documents édifiants, tels que le fameux livre documentaire de 1973 : DOSSIER D COMME DROGUE, LE MILIEU ET LA POLITIQUE, LES GROS BONNETS, LES FINANCES ET LES FILIÈRES EN FRANCE. (Edition Alain Moreau). Les journaleux du torchon LIBÉRATION ont prêté main fort à ce négrier de l’Académie française, pour faire occulter le complot criminel justiciable de la Haute Cour de justice d’un des plus illustres académiciens stigmate dans les pages édifiantes du livre ci-dessus : Michel Debré du Rotary, le commandant en ministre de Défense et ensuite Premier ministre de l’organisation et des opérations de la tristement célèbre « French connexion » du trafic de drogue par tonnes.

 Alors qu’un de ses braves colonels des services secrets de l’armée, de la S.D.E.C.D., s’est fait pincer aux État unis en service commandé avec sa camionnette bourré d’héroïne de qualité des chimistes marseillais, pourrit dans ces geôles là-bas, grâce aux bonnes offices de la magistrature française, le Caïd Debré a réussi d’éliminer du partage du magot planqué en Suisse par le trucide de trois de ses ministres initiés : Boulin, franc-maçon de la G.L.M.F., D’Ornano du Rotary, Fontanet... L’affaire Boulin, ô ironie du sort ! encore une autre rocambolesque affaire soustraite de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice par l’empêchement de mon intervention congrue. Les turpitudes traitresses de l’avocat félon des victimes y ont beaucoup contribuées : Me Jacques Verges, starisé par les médias en appât-gogos, mon propre avocat marchandant ma science au milieu associé au Rotary.

L’autre intouchable malfrat comploteur de l’Académie français, justiciable alors de Haute Cour de justice, est le sublime littérateur et journaliste Michel Droit, « la fine fleur de la pègre française avec tout le clan Zemmour et les barbouzes de Pasqua », rapporte AGORA VOX, le média citoyen du 26 mars 214. Par ses poursuites judiciaires tripotées, est arrivé l’heure de gloire « des Bouffons de la République ». La gloire des superbes Bouffons s’est surtout manifestée dans l’affaire Cogedim à Paris et à Créteil dans l’affaire des « fausses factures de l’île de France », associant l’ancien comptable Choukroum du gang Zemmour aux sociétés arroseurs des principaux hommes politiques vendus en vue de la région. Le substitut auprès de la Cour d’appel  J.P. Marchi et des magistrats de la cour de Paris appointés par le  milieu parisien, avec toute cette bonne compagnie politique délinquante du gratin parisien, sont soustrait frauduleusement des poursuites de la Haute Cour de justice à l’aide des crimes magistraux de la suppression de mes actes de procédures en présence subornatrice du « juge rouge » Bidalou. Simultanément, la procédure régulière d’un juge d’instruction irréductible de Paris sur les crimes de ces magistrats soudoyés de la bande Marchi est anéantie d’une l’annulation de complaisance à l’aide de la récupération grotesque par le président Christian Le Gunehec de mes constructions juridique aussi escamotées dans l’affaire des fausses factures de Bouygues et compagnie dans l’Île-de-France.

 L’artiste de toutes les forfaitures à la Chambre criminel de la Cass est le président Christian Le Gunehec, futur président de la Cour fantoche de Justice de la République, d’une création d’une caricaturale illégalité par ceux ci-dessus miraculés des poursuites de la feue Haute Cour de justice. La C.J.R. remplace la Haute Cour de justice sabordée, devant laquelle les comploteurs de la magistrature ont été justiciables avec la pègre de haut et bas étage. La réduction de sa compétence juridictionnelle de la C.J.R., n’autorisait plus la poursuite des complices du complot criminel contre la sûreté de l’État des membres du gouvernement, leurs grands commis de l’État tous associés au spectacle de l’audience public à la pègre la plus infâme du type des truands du gang Zemmour. Dormez tranquille, la science du juriste Dietrich est mortifiée.

 Du littéraire salonard et journaliste Michel Droit de l’Académie français, de l’escroc minaudier de toutes les turpitudes du favoritisme et corruption pour faire passer subrepticement les médias dans les mains des fricoteurs droitiers, retenons un seul de ses hauts faits dans la Commission nationale de la Communication et des Libertés (CNCL), fortement marqué à droite avec un parfume antisémite. En 1986,  la belle plume participa à  l’attribution à l’escroc immobilier de premier plan Bouygues, un autre miraculé de la Haute Cour de justice, la télévision publique privatisée TF 1 pour le montant de 4,5 milliards de francs. Encore des procédures desquels je fus éloignée avec ma science congrue par des assassinats judiciaires, fiscales, psychiatriques, policières, machinations combinées au sommet du pouvoir politique sur commande des empereurs des finances et de l’industrie, rejoints par le bétonneur interlope Bouygues. En raison de la paralysie des institutions judiciaires, de l’arriviste dénué de tous scrupules, le clan est érigé en inexpugnables empereurs des médias et de la télécommunication. Des désintégrations nationales qui se sont ensuivies de mon élimination au Mans des procédures sabotées des preux juges de la clique subversive du juge d’instruction Thierry Jean-Pierre avec leur cher « juge rouge » Bidalou, voire l’amorce de la catastrophe nationale : Pean P. et Nick CH. « T.F. 1, Un Pouvoir. Ed. Fayard 1997.
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Le Baron Olivier Guichard aussi doit une fière chandelle à l’empereur Bouygues de l’empire des médias, en concert avec  l’empire de la presse Hersant. Car, si la justice héroïque de la dernière heure se prend à des anciens gamins allemands endocrines, victimes du lavage de cerveaux méthodique par les médias des empereurs internationaux de finance et de l’industrie, comment refuser aux victimes français des crimes contre l’humanité, la mise en cause du jeune Baron Olivier Guichard ? Le psychisme des  gamins allemands dans la Waffen SS a été rétréci par une discipline militaire de fer de l’obéissance inconditionnellement partisane aux dogmes nazis.

 Mais le gamin d’alors, le nobliau Guichard, lui choyé dans le coton aristocratique d’un richard, ne peut certainement pas se  prévaloir de cette circonstance atténuant de la responsabilité pénale. Or, si les vérités historiques sont enfin prises en considération sur la haute trahison de la France par sa haute société des finances et de l’aristocratie, Guichard aussi, à l’instar de Papon, a été un secrétaire complice d’un criminel contre l’humanité d’un bien autre envergure que ceux récemment tenaillés par la justice française. Mais dans les placards de la justice et archives de l’armée, sont enterrés des exemples bien plus révoltants, car le capitaine de corvette Guichard n’a été qu’une courroie de transmission subalterne entre le commandement allemand et celui des oubliés de l’état-major de la Marine nationale.

Demeurent toujours sans répliques admissibles, mes exposés contradictoires au sujet sur la culpabilité pénale du papa Guichard et de son fiston secrétaire en complice des crimes contre l’humanité. A été détaillé jusqu’à l’Assemble plénière de la Cour de cassation et au Conseil d’État, le sujet sur la culpabilité pénale du papa Guichard dans le cadre de  la fameuse opération combinée Seelöwe, (traduction sensée « Lion de Mer » et non « Otarie »), de la marine nationale avec la marine de guerre allemande, trop faible pour affronter la Royal Navy britannique.

 À l’époque, la puissance de la marine française été la 4° du Monde. La collaboration française avec les nazis et les fachos visait de remettre sur le trône de l’empire britannique l’ancien roi Éduard VIII, destitué. Ce grand ami intime de Hitler et adepte de sa secte des « surhommes ariens », jurait à son Gourou la destruction de fond en comble la France, à l’instar des hordes barbares sous le commandement de Clovis I sacrée, anéantir, comme son supposé ancêtre, « tout ce qui a de noble sur terre », selon l’expression de Nietzsche. Le « Leitmotif » du couple infernal, en l’espèce leur « motif de conduite » de leur concert, est le leitmotif de la  apocalyptique conflagration de la guerre totale, scénarisée par des opéras  de Wagner. Cette musique sacrée et extatique des Nazis, plongeant Hitler dans un état second.

 Si les victimes d’Oradour-sur-Glane sont admis de poursuivre des gamins d’alors, hypnotisés par la magie noire phénoménale du Gourou Hitler, à plus fort raison, une Justice égalitaire et équitable doit se pencher de prime abord sur la responsabilité pénale de ceux qui ont œuvrés à la racine de l’évolution maléfique du cataclysme guerrier de la Deuxième Guerre mondiale, de leurs motivations profondes. Pour la motivation et les mobiles des mystiques hallucinés, pas de problèmes, non plus pour les spéculateurs disposés de faire immoler par des fous à lier quelques millions d’humains sur l’autel de leurs ambitions démesurés de réaliser des superprofits par le double jeu.

En ce qui concerne les aristocrates et ecclésiastiques de l’intégrisme catholiques, la motivation morbide se place dans le domaine rétrograde de la restauration de leurs privilèges des anciens régimes impériaux ou royaux, le régime absolutiste du « Sabre et du Goupillon ». Pour cette frange obnubilée de la haute société, est blasphématoire l’idéologie de la république d’une démocratie égalitaire, l’accès égalitaire de la rase maudite des juifs à toutes les activités culturels, économiques et politiques. Depuis le sacrée de Clovis I, la race germanique a été substitué en peuple élu par Dieu à la race juive par les sortilèges meurtrières du Vatican. La fantasmagorie délirante des nazies n’en est qu’une pâle imitation. Aussi dingue cette affirmation puisse paraitre aux contemporains tenus dans l’ignorance, ce crédo insensé des mystificateurs est pourtant toujours d’actualité dans les cercles discrets. Ces dogmes d’arrière-fond culturel et politique déterminent la motivation profonde des aristocrates et prélats, voyant eux aussi en Hitler l’envoyé de Dieu chargé de rétablir l’ordre des ancêtres sur des hécatombes des procédés d’exterminateurs ayant si bien réussis à Clovis I, chef de guerre idolâtré des hordes des barbares cannibales d’outre-Rhin.

Ainsi recadré la philosophie politique historique, les aristocrates allemands, britanniques, français... collaboraient par conviction innée au loufoque œuvre céleste de Hitler (Mein Kampf). Le père, du capitaine de Corvette Baron Louis Guichard, fringant officier de carrière, c’est enrichi par l’adoption par le mariage dans les familles richissimes de la Région où il est ratatiné en un homme politique de seconde zone. Tout en continuant sa prometteuse carrière d’officier supérieur de  la Marine nationale, à l’invasion allemande de la France, il s’est replié avec son unité en Angleterre. Faisant fi à l’appel du général De Gaule, il rentre France. Après avoir participé à l’appel du Maréchal Pétain en thaumaturge à la Présidence de ce qui restait de la République, le Baron Olivier Guichard, en capitaine de corvette reprit des services militaires, assisté comme secrétaire particulier de son fils Olivier à déniaiser. Jusqu’à la destruction de la flotte française à Mers-el-Kebir par la Royal Navy sur ordre de Churchill informé de la haute trahison britannique et française, le capitaine de corvette œuvrait en officier zèle de liaison entre le haut commandement de la Marine française et celui de la Marine de Guerre allemande. En raison de l’assermentation de Churchill et ses agents du MI 5 et MI 6 à la royauté britannique, et, des désastreuses conséquences psychologues sur l’Armée d’une divulgation de ces faits historiques inavouables, les autorités hantées procédèrent à l’enterrement sans cérémonie dans l’oubliette des bas-fonds du donjon monarchique, en France dans les placards verrouillés à double tour.

Redevenu disponible, le Baron Louis Guichard, capitaine de corvette et son secrétaire Baron Olivier Guichard rentrent dans le cabinet de l’Amiral François Darlan, ministre des affaires civiles, qui englobent naturellement les juteuses affaires juives du gouvernement de Vichy. À ma connaissance, le but de sa pérégrination pernicieuse dans la France occupée accompagné de son jeune secrétaire Olivier n’a jamais été élucidé, ni par la justice lui infligeant juste une éphémère dégradation civique, ni par les historiens peu curieuses. Le capitaine de corvette Baron Guichard, refusant de rejoindre l’Amiral Darlan en fuite à Alger, continue sa mission secrète, probablement jusqu’au jour où elle est devenue inutile. Son fils est planqué lors de la libération sur une péniche du Rhin pour le soustraire de la vindicte des résistants. Il est encore impossible de savoir dans quel mesure le traitre Guichard a aussi fonctionné comme officier de liaison avec les forces d’occupation pour faire empêcher la  flotte française la rejoindre à Alger les forces de la France libre selon les injonctions de l’Amiral Darlan, fermer aux bâtiments le port militaire Bizerte en Tunisie, pour finir la faire saborder dans la rade de Toulon par l’explosion démesurée, ravageant une partie de la ville,  au lieu, à la rigueur pour la préserver à la France, faire simplement couler en silence les bâtiments par l’immersion.

Mais la voile jeté sur ces événements historiques de la haute trahison combinée des états-majors britannique et française dans le but de remettre sur le trône le roi d’Angleterre Éduard VIII dérangé par des drogues du Dallai Lama et des charmes de son irrésistible épouse Willis Simpson, agent d’espionnage et hétaire de manipulation des services secrets de l’armée des États-Unis. Avec des convictions nazies bien arrêtée, l’enjôleuse expérimentée fut rodée à la séduction dans des bordels de luxe de Hong Kong et du Caire. La criminalité de mon élimination avec mes argumentaires des procédures judiciaire en France et des cours de justice de l’Europe, la paralysie criminelle de mes études et de mes recherches durant des années, démontrent que l’histoire militaire et politique officiel de la Deuxième Guerre mondiale reste à revoir.

Quoi qu’il en soit, si on se prend à l’SNCF et aux adolescents allemands, victimes du matraquage psychologique des médias déchaînés par des mystiques fous à lier, alors il est inéquitable de la part  de la justice française d’ignorer le degré de responsabilité de la complicité aux crimes contre l’humanité par conviction Guichard de la caste d’aristocrates. Il est franchement criminelle l’escroquerie constant de le faire défiler devant les assise de Bordeaux comme témoin à charge Baron Guichard, cet échantillon grotesque de la caste d’aristocrates, au lieu et à la place  du juriste contestataire avisé Dietrich avec ses exposés congrus, plus ou moins dirigés en coulisse par des barbouzes de la Muette.

 En éliminant ce méchant Dietrich des procédures d’importance telles que Papon par le crime organisé, privant subrepticement ce juriste avisé de ces moyens financiers, de sa liberté de déplacement et de sa réputation par des injures journalistiques, fut déjoué ses interventions dans des procédures connexes et indivisibles. En ont aussi fait les frais les plaignants des massacres d’Oradour-sur-Glane par les Waffen SS. Il fut déjoué le rappelle aux juges du remplacement sur le théâtre opérationnel à l’Est des exterminateurs de la Waffen SS allemand par les Waffen SS français, de répéter l’introduction dans la procédure le livre documentaire de E.R. Carmin « Guru Hitler » : la démonstration complémentaire de l’entière responsabilité française.

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