Partout l’incantation vibrante de ta douce voix, la grâce émouvante de tes gestes, de l’exquise séduction amène de ton visage si rayonnant, conserveront ton charme céleste de la féerique splendeur, Elïna Garanča, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto fill me with rapture more and more...
Elïna Garanča and Charles Castronovo sing the Zarzuela duet "El duo de la Africana" by M.F. Caballero at a concert in Gottweig, Austria 2009. Conductor: Karel Mark Chichon.
- Elina, meine sublime, bezaubernde Göttin des Bel Canto, komm mit mir!
- Für immer und in der Ewigkeit. (- Toujours et dans l'éternité.)
Elïna Garanča and Charles Castronovo sing the Zarzuela duet "El duo de la Africana" by M.F. Caballero at a concert in Gottweig, Austria 2009. Conductor: Karel Mark Chichon.
Pour le concert de plein air près du monastère
de Gottweig en Bas Autriche en 2009, le chef d’orchestre Karl Mark Chichon a
adapté avec son génie ibérique de Gibraltar, magnifiquement dirigée et exécutée
par l'orchestre, un extrait de l’opérette espagnol burlesque « Le Duo de
l’Africaine » à l’ambiance autrichienne en exploitant l’extraordinaire
virtuosité vocale de mezzo-soprano de sa sublime Dulcinée enchanteresse blonde
du bel canto, son épouse Elïna Garanča aux grands yeux d’un bleu fascinants, dans un extrait à la musicalité bien choisie pour
la représentation dans ce cadre rustique. (En 2005 ce duo fut chanté avec une
autre séduisante mise en scène d’Elïna Garanča avec le ténor Marcelo Álvarez dans les splendeurs sélectes du Gala
concert de l’Opéra de Wien).
Le ‘Zarzuela duet El duo de la
Africana’ de M.F Caballero, publié le 13 mai 1893, à l'Apollo Theater à Madrid,
est une opérette théâtrale de grand succès populaire d’une durée d’une heure.
D’un milieu affairiste, l’amusant mélodrame met en scène les intrigues
amoureuses, passionnelles et conflictuelles d’un jeune homme (ténor) de bonne
famille, follement amoureux d’une innocente jeune femme riche et gracieuse de
l’Andalousie (mezzo-soprano).
Dans le merveilleux arrangement en Autriche,
l’héroïne folklorisée est scénarisée en modeste, l’innocente villageoise
autrichienne nommée pour l’ambiance « Elïna », cette cantatrice
mezzo-soprano d’une poignante grâce incantatoire. Costumée, en vertueuse
villageoise autrichienne, elle chantante en espagnol son candide dédain des
avances audacieux de l’élégant soupirant, mimant l’émotion des gestes avec son
exquise perfection, en harmonie avec l’expressivité des couleurs modulées de sa
voix exercée à la perfection.
La participation du fringuant
soupirant est chantée par le ténor Charles Castronovo, déployant tout le talent
de séduction virile avec son art vocal, des impressionnantes tonalités
expressives de sa voix virile d’un typique macho espagnol : - « Je vais
dire à mon charme, Je vais vous dire mon amour, Je vais dire à ma gloire, Je
vais dire à mon ciel…, » pour lui ordonner en allemand d’un enthousiasme
exubérant : « Elïna viens avec moi ! ».
Elïna, si ardemment convoitée dans ce duo
d’amours et querelles aux sonorités de belles harmonies, après avoir chanté sa
participation en espagnol, se détourne outrée de cette audace, lance au ténor
en allemand haute et claire à la tête : « Jamais ! »
Elle est venue avec moi dans
l’Histoire, avec son « Cavalier de Prose » inspiré et enchanté »
Peter.
Elina, meine sublime, bezaubernde Göttin des Bel Canto kommt mit mir. (Vient avec moi).
Manon - Anna Netrebko & Roberto Alagna - Act 2 (Opera by Jules Massenet).
https://youtu.be/1fyytF2xsio
Ô magie, ma douce et tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or. Ô magie, de ton regard captivant de la pureté du saphir d’un bleu céleste, du sommet radieux de la sphère du génie de l’auguste art musical.
Ma douce et tendre Rossignol, Elïna, ma sublime déesse enchanteresse, pénètre mon âme meurtrie du rayonnement de ta sublime magie vocale, réchauffe mon âme meurtri immergé dans un vil abîme de dissonance hypocrite.
Trille tendre Rossignol! Trille tendre Rossignol en crescendo du sommet radieux de la sphère du génie de l’art musical. Laisse résonner la magnificence des doux timbres de l’incomparable magie de ta vocalisation du ravissement musical. Du lutteur solitaire, remue en vibrato son cœur meurtrie dans sa gangue d’acier, Elïna, ma sublime déesse enchanteresse.
Brille tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or! Brille à l’Opéra tendre Rossignol, oh ! oh ! surprise, ravie en sublime Compagne virtuelle de charme dans le cheminement de mon escapade dans l’Histoire de l’Humanité à la recherche éperdue de Grands Hommes.
Laisse, laisse briller le suprême l’éclat du Bel Canto, sur ce solitaire finaud de Voleur aux anges, quelques rayons de ton céleste halo. Brille tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or! Brille, Elïna, ma sublime déesse enchanteresse, cède de bon cœur au lutteur solitaire de toutes les audaces un peu d’éclats de ta brillance céleste dans les ténèbres de son vil abîme de dissonance hypocrite.
HAUTE TRAHISON DE L’HUMANITÉ : Académie française, É.N.A. Nazis, C.I.A., Rotary, Maçons, Sectes, Mafias, Cinglés...
D’Elïna Garanča, de ma sublime déesse enchanteresse du bel canto, son souffle lyrique de la magie vocalique, comme le doux vent du printemps vibrant d’émotion qui fait renaître la nature de son sommeil hivernal, elle me réchauffe l’esprit assombrie, chasse mes préoccupations pour m’élever dans les merveilles du monde du suprême art musical du bel canto. L’esprit excité du charme sublime de sa virtuosité vocale, de sa parfaite élocution dans tous registres de ses couleurs sonores, soutenu d’une mimique gestuelle harmonieuse de la grâce de l’éternelle féminité, c’est le transport du rêve aux vibrantes fantasmes à la douce extase spirituelle, des arias comme celles de Bellini, de Mozart un ravissement caressant me pliant les genoux sous vagues de son divin souffle chargé d’immenses émotions.
Peter son « Cavalier de Prose » enchanté.
Ma sublime déesse enchanteresse du bel canto, Elïna Garanča, ma tenue encore sous le charme de son poignante virtuosité expressive avec l’aria de la plus splendide beauté de ses couleurs vocales qui suggèrent la féminité de ses expressions dramatiques des bouleversantes passions tragiques. « Deh per questo instant solo » ‑Ah, durant cet instant seulement, rappelle toi l’affection d’autre fois...‑, dans la magnifique musicalité de l’opéra « La Clémence de Titus » de Mozart, d’une mise en scène bien extravagante à Wien en mai 2012. Elïna ma sublime déesse enchanteresse, a été délicieusement émouvante dans ce rôle masculin du traitre naïf Sextus par la conservation, cette fois, de la sculpture d’une beauté à ravir du naturel de son visage et de sa chevelure d’un blond filigranés d’or et d’éclat lumineux argentins, juste tiré en arrière. Ô mélodieuses fantasmes de l’allégorie androgynes : douée d’une grande agilité vocale, dans ma vision à moi, Elïna s’est appliquée avec sa divine grâce féminine d’une céleste sylphide des plus sensuels rêves. Sa parfaite mimique gestuelle masculinisée assortie de sa physionomie expressive n’a qu’amplifiée la magie de la virtuosité expressive de sa délicieuse voix mezzo-soprano douée des puissantes vibrations incantatoires dans la mise en scène musicale de la tragédie de l’amour insensé, du débordement des passions d’un amant aveuglé vers la faiblesse coupable de la trahison d’un cher ami, les tourmentes de repentance d’une passion ravageuse et le cheminement vers la peine capitale libératrice des tenaillements moraux, doublés une abnégation d’amour dans le désespoir infini pour sa fatale séductrice.
Dans cet aria aux accents tragiques et douloureuses Elïna exprime de sa captivante voix, avec la vivacité communicante, des timbres émus et mouvants des merveilles sonores, vocalise le chant du désespoir du naïf Sextus, avec une grande aisance, tout un clavier d’émotions pathétiques des sentiments contraires, entraîne mes impressions dans une spirale de la magie lyrique envoutante.
Dès l’attaque du récital d’une poignante lenteur avec les couleurs ondulantes dans ses hauteurs implorantes, des médians appuyés riche en sensations fortes du bouleversement émotionnel, d’emblée me tient sous son charme, chauffe mon âme, fait vibrer mon cœur sous mon blindage. Descendant dans les douceurs des notes graves d’amertume de la souffrance lyrique enveloppée de tendresse avec des pointes de la voix poussée jusqu’à la plainte, s’élève parfaitement timbrée à des d’implorations mélodieuses de la grâce, des crescendos aux sonorité clairs, un vibrato allongé aux saisissantes sons plaintifs, des ruptures émouvant de silence et de tristesse du raffinement mozartien de l’accompagnement du rythme et modulations des violons : de l’orchestration de l’aria d’une telle merveille lyrique saisissante, devant laquelle, irrésistiblement, je suis pris de la tentation de ployer les genoux.
Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.
Mise en scène à la Wiener Staatsoper du 5 avril 2011, sous la direction du chef d’orchestre Felino Pidó, la scène de l’Opéra ‘Anna Bolena’ de Gaetano Donizetti aux décors sombres avec des variations géniales d’un éclairage fantastique a mise en relief émouvant des costumes d’un raffinement exquis, des physionomies et mimiques en harmonie avec des expressions musicales du mélodrame romantique de la fin tragique de la reine ‘Anna Bolena,’ réunifiant sur le plateau des plus talentueux acteurs, actrices, choristes et instrumentalistes, mariait les splendeurs des beautés sonores dans une féerie picturale d’une irrésistible fascination.
Dans la mise en scène de l’opéra les turpitudes du roi Henri VIII d’Angleterre, dévoreur de huit femmes successives, le superbe baryton basse Ildebrando D'Arcangelo, par la vigueur expressive de sa voix grave et virile, de sa mine et de son parfaite mimique gestuel, présentait sur la scène toutes les qualités d’emploi de ce beaux brut, se débarrassant de son deuxième épouse Anna Bolena, sa reine mis en scène par Anna Netrebko, pour convoler sa troisième victime, la candide Jane Seymour, l’amie intime et demoiselle d’honneur à la cour, mise en scène par la mezzo-soprano Elïna Garanča.
Mais mon affinité musicale m’a évidemment orientée vers les scènes des duos et dialogues vocalisés avec brio entre mes deux sublimes grandes favorites adorées du monde de l’opéra : mon ravisant étoile Anna Netrebko et ma déesse du bel canto Elïna Garanča, bien que la sérénade et les récitals de passion au timbre particulier de la jeune alto ou mezzo Elisabeth Kulman, travestie en page Smeton amoureux de la Reine, a bien agréablement flatté la sensibilité de mon ouï masculin par sa voix douce, d’une caressante féminité.
Rivales aux émotions exacerbées dans le scénario musicalisé, la belle brune soprano Anna Netrebko au timbre russe d’une cristalline pureté vocale polie à la wiennoise et la captivante blonde mezzo-soprano Elïna Garanča de mon cœur, d’une étonnante agilité vocale, se sont livrés à des sublimes rivalités de finesse et précision de vocalisation à l’unisson, dans des duos ou dans des dialogues passionnés valorisant leurs tessitures très larges, aux éblouissantes couleurs dans l’aigu en variant dans le grave. Leur virtuosité dramatique atteignait le sublime dans l’éloquence des mélodies : un fascinant et vibrant expressionnisme lyrique, imprégnant l’émotion sur les intonations, des gestes de tout beauté, de grâce et d’adresse, des chants dans toutes les raffinements des puissances des tonalités émouvantes de l’anxiété, de l’embrasement dévastateur des sentiments d’amour, de dépit de la trahison, de lamentations, plaintes déchirantes, du pardon, des prières saisissantes, de la pitié poignante au dénouement vers la folie et la mort tragique de la reine. Un chef d’œuvre émouvant, inoubliable.
Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté d’Elïna.
Concert open-air « classique sous étoiles » dans la fondation Göttenweig, Elïna Garanča avec son époux Karel Marc Chichon.
L’éblouissant maestro Karel Mark Chichon, en chef d’orchestre dans ses fameux concerts donnés au « Festspielhaus », au Maison de concert, de Baden-Baden en 2008, s’est appliqué avec succès de transformer les émotions de sa propre passion pour son irrésistible dulcinée conquise pour la vie Elïna Garanča en féeries musicales transcendants : l’interprétation allégorique de ses propres perceptions amoureuses sublimées, de sa conquête de l’amour épanouie en émotions fortes qui, dans la salle de spectacle, submergent les sensations du cœur et de l’âme des spectateurs mélomanes par des vagues d’harmonie successives.
Le magicien de symphonie d’un orchestre le plus varié des grands talents instrumentistes, des airs d’opéras célèbres, des arias de la passion d’amour composés des sommités de la musique classique, charmant l’ouï et la vue de tous les goûts du public avertie des raffinements musicaux.
Il s’est donné rendez-vous dans la grande salle bondée de la Maison de musique à Baden-Baden pour assister à l’extraordinaire spectacle donné par le suprême tallent de ma sublime déesse enchanteresse Elïna Garanča en cantatrice soliste ; spectacle dont les plaisirs de l’assistance en direct me sont à jamais prohibés avec mon armure du gladiateur solitaire. « Absence makes the heart grow fonder » et me laisse quelques loisirs aux envolées littéraire d’adulation de ma reine blanche idéale sur l’échiquier.
Pour la représentation, ce éblouissant maestro Karel Mark Chichon dirigeant en grand amoureux inspiré, s’est fixé à une variété des arias d’opéras baroques et romantiques émouvants, à une sélection bien choisie au divertissement du public dans la largueur du répertoire extraordinaire d’Elïna, de sa flamme bien aimée.
Sélection dans laquelle ce magicien de symphonie a permis devant le public à sa diva à la corole d’or Elïna de donner toute la mesure de la flexibilité de son talent de vocalisation lyrique et de sa virtuosité de chanter sur toute la vaste palette sonore des couleurs enchanteurs de sa voix aux ultimes perfectionnements, sur toutes les octaves de sa tessiture de mezzo-soprano d’une douceur féminine aux caresses captivantes : du modérato des souffles pathétique des basses mélancoliques aux tourbillons exaltantes des trilles jubilatoires des hautes passionnées.
L’émotionnel du spectacle musical est intensifié sur la scène somptueuse devant le brillant orchestre par le plaisir visuel du mimique des passions d’amour par des ravissements de son physionomie d’enchanteresse, des gestes gracieuses, son corps ondoyant de la divine Naïade blonde parée d’une longue tunique rouge chatoyante à la romaine collant sur sa silhouette souple en mouvance assurée ; le port en écharpe laissant nues les charmes des galbes délicates, du buste des épaules et des bras. L’ensemble sélecte cette magie scénique en parfaite harmonie, exalte l’enthousiasme irrésistible d’un public des mélomanes averties.
Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.
https://youtu.be/ypMv_vKtGuk
Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.
Mise en scène à la Wiener Staatsoper du 5 avril 2011, sous la direction du chef d’orchestre Felino Pidó, la scène de l’Opéra ‘Anna Bolena’ de Gaetano Donizetti aux décors sombres avec des variations géniales d’un éclairage fantastique a mise en relief émouvant des costumes d’un raffinement exquis, des physionomies et mimiques en harmonie avec des expressions musicales du mélodrame romantique de la fin tragique de la reine ‘Anna Bolena,’ réunifiant sur le plateau des plus talentueux acteurs, actrices, choristes et instrumentalistes, mariait les splendeurs des beautés sonores dans une féerie picturale d’une irrésistible fascination.
Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté d’Elïna.
Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.
Elïna Garanča, Ave Maria (William Gomez). Christmas in Vienna 2007. Dirigent Karel Mark Chichon.
Sous la direction de haute volée de son génie d’épouse Karel Mark Chichon, ‑leurs cœurs d’amoureux battant à l’unisson‑, les arias et chants spirituels sont les participations scénarisées par Elïna Garanča avec un charme exquis et d’une facilité vraiment délicieuse. Élevé toujours plus haut au degré de la perfection par l’arrangement orchestral de son talentueux maestro, l’Ave Maria de William Gomez,
La sublime Elïna souffle du fond de sa délicate gorge de virtuose enchanteresse, sa voix parfaitement flexible : souligné de sa gracieuse mimique gestuelle, pleine d’aménité évocatrice du sacrée, cette riche mélodie, merveilleusement douce semble couler sans effort de ses lèvres de Fée fascinante, déchaîne à l’écho tout un jeu d’harmonie d’une religiosité lumineuse. Ses strophes d’une chaude intonation se diffusent, remuent à leur rythme les sentiments de son auditoire recueille, l’enivre des plus douces voluptés spirituelles avec un ensemble polyphonique de merveille.
Peter, son Cavalier de Prose enchanté.
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Echo Classic 2013. Elïna Garanča au Konzerthaus de Berlin : le récital du cantique « Plus grand dans son obscurité » de l’opéra (Paris 1862) « La Reine du Sabbat » de Charles Gounod. (La légende de Balkis d'après Gérard de Nerval).
L’entrée solennelle de l’aménité la plus exquise de la divinité du bel canto Elïna Garanča, précédée de l’éclat de l’aura de son renom, est ovationné chaleureusement des deux côtés du couloir central par un auditoire des gens de grand talent de la musique classique. Dans cette salle d’une architecture stylisée des somptuosités modernes de la Maison de Concert de Berlin, la pléiade internationale des étoiles de l’opéra s’est donnée-là rendez-vous en auditoire avertie des récitals accompagnés de l’orchestre pour l’attribution du prestigieux trophée très prisé de « La Cantatrice de l’année ».
Digne de la Reine de Sabbat mise en scène musicale, la couleur assortie de la robe d’apparat longue et ample, le tendre bleu clair métallisé, accentue de cette amour d’Elïna la féerique fascination de l’expression des grands yeux aux éclats des saphirs bleus du bel visage au teint d’une blancheur satinée, auréolé de sa couronne des splendides cheveux blonds. Majestueusement enjambé les cinq marges pour monter au plateau, à Elïna, la sublime Déesse du Bel Canto, un accueil chaleureux est réservé par le Roi d’Israël de la symphonie et de la polyphonie instrumentale et vocale, par le maestro Omer Meir Weber.
Le talent de l’éminente figure de la musique classique Omer Meir Weber s’est illustré avec l’aussi brillante cantatrice Elïna Garanča dans la présentation du cantique dramatique du troisième acte de l’opéra tombé dans l’oubli : la tragédie lyrique de la légende de La Reine de Sabbat. Pris d’amour du bâtisseur venant de l’étranger pour la construction du temple du roi des Juifs Salamon, l’opéra est la scénarisation dramatique des intrigues de la passionnelle amour adultère, de la séduction, jalousies, lutte d’influence des ouvriers, vengeance, délation, avec en final la désolation de la destruction et mort tragique de l’amant dans des confuses scènes de la mythologie et magie orientale de la haute antiquité. Pour les initiés, une sorte d’allégorie scénarisée des rites maçonniques.
En donnant toute la mesure de son divin talent, la sublime Elïna entonne de la Reine adultère la cantique d’une musicalité raffinée, jouant en virtuose accomplie sa gamme infinie des nuances et variations vocales de la finesse de sa perfection transcendente : « Me voilà, seul enfin ! ‑De quelle ardent flamme, brillait les yeux de ce fier étranger, ‑Son orgueil, son courage en face du danger, ‑Ont su toucher mon âme !... ‑Pour être reine, hélas ! ‑Cesse-t-on d'être femme ? ‑Plus grand dans son obscurité, ‑Qu'un roi paré du diadème, Il semblait porter en lui-même, ‑Sa grandeur et sa royauté ! ‑Funeste serment qui me lie ! ‑Résigne-toi, mon cœur, oublie ! ‑L’oublier, lui que j'ai pu voir, ‑De son bras dominant l'espace, ‑Du Roi braver le vain pouvoir, ‑Et l'effrayer par son audace ! ‑L'oublier, quand hier encore, ‑Au caprice de son génie, ‑Ses mains, dans le porphyre et l'or, ‑Créaient la forme et l’harmonie !... ‑Aux lueurs d'un ciel embrasé, ‑Je l'admirais domptant la flamme ! ‑ A mes pieds je l'ai vu brisé, ‑Et l'amour envahit mon âme ! »
De l’infidélité de la Reine de Sabbat aspirant à la liberté, la mise en musique de la succession des bouleversants états d’âmes, les stades émotionnels de l’admiration de l’amant à la révolte contre le destin, l’abattement, la consternation à la désolation, protestations, des lamentos au dédain et résignation, sont exprimées d’une haute perfection de la magnifique synchronisation des paroles chantés avec l’éloquence des gracieux gestes, de la poignante expressivité de la mimique faciale. Préludée des lentos des bassons et flutes, c’est l’accomplissement merveilleux de la vocalisation dramatique du pathétique et du tragique.
Vocalisées de toutes les variations de son registre mezzo-soprano étendu aux hautes de sa voix frisant le perlée du soprano, pour descendre au bas caressants du contralto, l’effet émotionnel la révolte chantée contre la Morale est accru de l’orchestration raffinée des attaques fortes du motif des cordes, passages saisissants ponctués du tact des timbales. Cet émerveillement des exclamations d’une sonorité vibrante des protestations des contraintes du sort, enveloppe d’émotions l’auditoire. Une représentation de polyphonie orchestrale et vocale de très grande classe dans cet univers de la musique vocale classique de Berlin.
(La cantique de la Reine de Sabbat, du répertoire classique du couple bien assortie, Elïna Garanča et son époux, le chef d’orchestre Karel Mark Chichon, a déjà fait des succès dans des concerts en Allemagne, Autriche, France, Suisse…).
Peter, ‘Le Cavalier de Prose’ enchanté d’Elïna.
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Echo Classic 2013. Elïna Garanča au Konzerthaus de Berlin : le récital du cantique « Plus grand dans son obscurité » de l’opéra (Paris 1862) « La Reine du Sabbat » de Charles Gounod. (La légende de Balkis d'après Gérard de Nerval).
L’entrée solennelle de l’aménité la plus exquise de la divinité du bel canto Elïna Garanča, précédée de l’éclat de l’aura de son renom, est ovationné chaleureusement des deux côtés du couloir central par un auditoire des gens de grand talent de la musique classique. Dans cette salle d’une architecture stylisée des somptuosités modernes de la Maison de Concert de Berlin, la pléiade internationale des étoiles de l’opéra s’est donnée-là rendez-vous en auditoire avertie des récitals accompagnés de l’orchestre pour l’attribution du prestigieux trophée très prisé de « La Cantatrice de l’année ».
Digne de la Reine de Sabbat mise en scène musicale, la couleur assortie de la robe d’apparat longue et ample, le tendre bleu clair métallisé, accentue de cette amour d’Elïna la féerique fascination de l’expression des grands yeux aux éclats des saphirs bleus du bel visage au teint d’une blancheur satinée, auréolé de sa couronne des splendides cheveux blonds. Majestueusement enjambé les cinq marges pour monter au plateau, à Elïna, la sublime Déesse du Bel Canto, un accueil chaleureux est réservé par le Roi d’Israël de la symphonie et de la polyphonie instrumentale et vocale, par le maestro Omer Meir Weber.
Le talent de l’éminente figure de la musique classique Omer Meir Weber s’est illustré avec l’aussi brillante cantatrice Elïna Garanča dans la présentation du cantique dramatique du troisième acte de l’opéra tombé dans l’oubli : la tragédie lyrique de la légende de La Reine de Sabbat. Pris d’amour du bâtisseur venant de l’étranger pour la construction du temple du roi des Juifs Salamon, l’opéra est la scénarisation dramatique des intrigues de la passionnelle amour adultère, de la séduction, jalousies, lutte d’influence des ouvriers, vengeance, délation, avec en final la désolation de la destruction et mort tragique de l’amant dans des confuses scènes de la mythologie et magie orientale de la haute antiquité. Pour les initiés, une sorte d’allégorie scénarisée des rites maçonniques.
En donnant toute la mesure de son divin talent, la sublime Elïna entonne de la Reine adultère la cantique d’une musicalité raffinée, jouant en virtuose accomplie sa gamme infinie des nuances et variations vocales de la finesse de sa perfection transcendente : « Me voilà, seul enfin ! ‑De quelle ardent flamme, brillait les yeux de ce fier étranger, ‑Son orgueil, son courage en face du danger, ‑Ont su toucher mon âme !... ‑Pour être reine, hélas ! ‑Cesse-t-on d'être femme ? ‑Plus grand dans son obscurité, ‑Qu'un roi paré du diadème, Il semblait porter en lui-même, ‑Sa grandeur et sa royauté ! ‑Funeste serment qui me lie ! ‑Résigne-toi, mon cœur, oublie ! ‑L’oublier, lui que j'ai pu voir, ‑De son bras dominant l'espace, ‑Du Roi braver le vain pouvoir, ‑Et l'effrayer par son audace ! ‑L'oublier, quand hier encore, ‑Au caprice de son génie, ‑Ses mains, dans le porphyre et l'or, ‑Créaient la forme et l’harmonie !... ‑Aux lueurs d'un ciel embrasé, ‑Je l'admirais domptant la flamme ! ‑ A mes pieds je l'ai vu brisé, ‑Et l'amour envahit mon âme ! »
De l’infidélité de la Reine de Sabbat aspirant à la liberté, la mise en musique de la succession des bouleversants états d’âmes, les stades émotionnels de l’admiration de l’amant à la révolte contre le destin, l’abattement, la consternation à la désolation, protestations, des lamentos au dédain et résignation, sont exprimées d’une haute perfection de la magnifique synchronisation des paroles chantés avec l’éloquence des gracieux gestes, de la poignante expressivité de la mimique faciale. Préludée des lentos des bassons et flutes, c’est l’accomplissement merveilleux de la vocalisation dramatique du pathétique et du tragique.
Vocalisées de toutes les variations de son registre mezzo-soprano étendu aux hautes de sa voix frisant le perlée du soprano, pour descendre au bas caressants du contralto, l’effet émotionnel la révolte chantée contre la Morale est accru de l’orchestration raffinée des attaques fortes du motif des cordes, passages saisissants ponctués du tact des timbales. Cet émerveillement des exclamations d’une sonorité vibrante des protestations des contraintes du sort, enveloppe d’émotions l’auditoire. Une représentation de polyphonie orchestrale et vocale de très grande classe dans cet univers de la musique vocale classique de Berlin.
(La cantique de la Reine de Sabbat, du répertoire classique du couple bien assortie, Elïna Garanča et son époux, le chef d’orchestre Karel Mark Chichon, a déjà fait des succès dans des concerts en Allemagne, Autriche, France, Suisse…).
Peter, ‘Le Cavalier de Prose’ enchanté d’Elïna.
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Partout l’incantation vibrante de ta douce voix, la grâce émouvante de tes gestes, l’exquise séduction amène de ton visage si rayonnant, conserveront ton charme céleste de la féerique splendeur, Elïna Garanča, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto. Le divin souffle de sa magie vocale, les merveilleuses sonorités des couleurs du lyrisme enivrant, la perfection de sa gracieuses mimique, vous enlève, vous transporte dans une atmosphère des merveilles musicales. Peter, ton « cavalier de prose » enchanté.
https://youtu.be/K2snTkaD64U
Aqarius aux Hair - Elïna Garanča & alle.
Elïna Garanča - Victor Herbert - Art is Calling for Me
https://youtu.be/kXs2VAfy4ew
Elïna Garanča,
vidéo-fiction,
« Habanera,
L’amour est un oiseau rebelle ». Opéra « Carmen » de George
Bizet.
Je retrouve avec quelque peine ma sublime déesse
enchanteresse Elïna Garanča
du bel canto, dans l’aria
de George Bizet « l’amour est un oiseau rebelle » de son album
« Habanera», sur des thèmes des chansons tsiganes. La Naïade des contrées
chantantes de son pays nordique, la douce divinité éthérée des sources et
rivières à la chevelure dorée flottante,
ondulée sur les épaules gracieusement
galbées, avec son étonnant brio de virtuosité des douceurs vocales et de son
adresse de mimique des gestes de la comédienne lyrique accomplie s’est transmuée
dans la mise en scène de vidéo-fiction
dans une affectueuse Carmen séductrice d’une autre planète.
Le scénario de la vidéo-fiction avec le magnifique
solo dépasse même en fantastique et imaginaire ses classiques mise en scène
avec chœur et orchestre, les plus turbulentes des audaces fatales de
l’aguicheuse dévergondée Carmen, une gitane passionnée de l’opéra de George
Bizet. Volage et capricieuse, chanteuse et danseuse, la tsigane Carmen enjôle
des militaires pour jeter le chaos dans la garnison la ville Séville en
Espagne, finit par se faire poignarder par son court amour impulsif, par le
caporal José, jaloux amoureux passionné, ensorcelé par le chant de Carmen à la
désertion, puis délaissé pour les attraits virils d’un beau toréador.
La voilà vidéo-fiction l’Elïna transfigurée en
sorte tsiganes sauvage, sortant au son de flamenco de la guitare espagnol de la
brillance nébuleuse d’un halo solaire tel un mirage fabuleuse, éblouissant les
yeux d’un jeune-homme subjugué. À présent avec la voix de mezzo-soprano
d’attaque d’une suite de timbres dynamisés d’une belle amazone des champs
arides d’Espagne, la séductrice émette en graduel de ses magnifiques hautes
ciselés des chants scandés d’oiseau mystique.
Chevauchant un cheval aussi sauvage, coiffée une tignasse blonde
ébouriffée, des yeux bleus hypnotisantes de tigresse, avec un délectable
raffinement vocal, fulminent des éclairs de chasseresse d’une fugace aventure
amoureuse.
Galvanisé, son jeune prince rustique est conquis
d’un amour éphémère, amour s’envolant tel l’oiseau inapprivoisable en battant
les l’aile pour s’évanouir comme un bel songe au sens allégorique de l’aria.
« Si tu n’attends plus l’amour, elle est là, elle vient et s’en va,
l’amour est un oiseau rebelle, nul ne peut l’apprivoiser…, » chante la
sublime rossignole aux oreilles émerveillés de sa jeune proie paralysée du
charme du moment de félicité. Précédée d’une danse rituelle écervelée de
l’irrésistible enchanteresse tsigane, le jeune homme surpris dans la solitude
de sa grange, captivé en proie langoureuse aux anges de la rossignole fugitive,
s’abandonne sur un tas de paille à ses subtiles caresses et à la provocation
féminine de la voix de mélodieuse incantation pour voire l’amazone s’évanouir
dans les mystères comme elle est venue.
Le texte et la mise en scène fantastique de
vidéo-fiction de cette aria, ne correspond peut-être pas à la vision propre des
coutumes tsiganes en Espagne de son époux de Gibraltar, l’éblouissant maestro
Karel Mark Chichon Carel. Elïna, elle, les a étudiées de près sur place Espagne
pour parfaire son art de l’imitation sur
les scènes où elle brille dans plusieurs versions de la turbulente Carmen dans
les plus grandes maisons d’Opéra du monde, dont la fameuse Met de New-York. Le
maestro Karel Mark Chichon Carel, ce magicien de l’orchestration des
opéras-galas a mis en scène cette belle aria de provocation féminine à sa
manière de chef d’orchestre génial dans des grandes salles des concerts avec
des décors somptueuses et des orchestres prestigieux, devant un nombreux public
enthousiaste. Y est représenté plus classique le tempérament d’Elïna en tsigane
espagnol, séductrice effrontée aux longues cheveux sombres, séductrice
indomptable par son amant enflammé jusqu’à la faire périr dans les turbulences
de passion du drame sanglant de jalousie de de haine.
Mais le mélomane ne peut que se laisser emporter
par le charme de absolument admirable mise en scène ingénieuse avec les effets
spéciaux en vidéo-fiction originale du texte français de la musique George
Bizet, interprété par la talentueuse cantatrice Elïna Garanča. Cette diva phénoménale de vocalisation lyrique des
passionnes et des fantasmes amoureuses d’une amazone à cheval, répande autour
d’elle l’aura des mystères tsiganes d’un fugace amour insaisissable avec un issue
de l’idylle de tendresse nostalgique. Je le préfère au scénario authentique
militarisé. Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.
La splendeur musicale du summum du vocalisme classique de la virtuosité de la voix.
Ces séduisants échos de l’Opéra de Wien de Strauss, capital du pays de la branche maternelle de ma famille, aurait mis en extase divine ma mère si elle serait encore là ‑ cette l’incomparable beauté de ta voix mezzo-soprano, s’adaptant avec bonheur à l’interprétation du rôle du charmant prince dans un décor somptueux à l’autrichien. Ma sensibilité musicale est cependant ravie à l’extrême par la magie enchanteresse de tes cantates et cantiques aux résonnances du sacrée dont MÉDITATION paraît à la sensibilité de mon ouï le couronnement de ta prestigieuse virtuosité de la voix féminine.
Le visage suave et doux d’Elïna Garanča, de ma sublime déesse enchanteresse du bel canto, ses yeux d’une pénétration fascinante de l’éclat pure du saphir bleu, ce bel dessin métaphorique de sa beauté et de la séduction de la virtuosité vocale incomparable, saisira d’émotion agréable les lecteurs de ma morne prose savante des institutions juridiques nationaux et internationaux dont elle est devenue la Reine blanche sur un rude échiquier des enjeux internationaux majeurs.
Elïna Garanča, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto, Reine blanche sur l’échiquier des belligérants de l’ombre.
De l’opéra « Le Barbier de Séville » le plus connu de Gioacchino Rossini, Diva doublée d’une talentueuse actrice, Elïna Garanča pastiche d’une extraordinaire virtuosité d’humour la célèbre l’aria de la Rosine amoureuse « j’ai attendu une voix » (‘Una voce poco fa’). L’accompagnateur, le plus brillant de la Norvège, au piano Håvard Gimse en pimente l’inattendue présentation humoristique de l’aria d’amour avec l’attaque du récital de sa touche audacieuse au rythme entraînant.
Avec le plein épanouissement de sa beauté vocale du lyrique, Elïna finit par moduler les couleurs douces de sa voix dans les sonorités du coquin moqueur aux intonations tendres. L’exquise grâce du mimique faciale et l’élégance des gestes d’une grande actrice accomplie, harmonise avec les surprenantes expressions coquines de sa merveilleuse voix aux inépuisables adaptions, modulations et variations.
Humour surprenant dans le décor stylisé de la digne cérémonie du Prix Nobel de la Paix de 2007, devant un public sélecte du grand monde cultivé ! Noblesse oblige. En chantant dans le style à ravir d’une coquine moqueuse, Elïna toujours vêtu en concert d’une élégance témoignant de son goût raffiné en harmonie de la souplesse de la ravissante sculpture de sa délicate féminité galbée d’une beauté expressive, radiant vers l’auditoire choisi la chaleur d’une extraordinaire déesse du bel canto. Jeune-fille, Elïna rêvait devenir une princesse. Aujourd’hui, la sublime déesse rentre dans l’Histoire en Reine. Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.
-------------------------
En extase scénique, l’étoile de l’opéra, la splendide soprano Anna Netrebeko, l’amie inséparable de l’Elïna Garanča, de ma sublime déesse enchanteresse du bel canto. (La Traviata "Sempre libera").
https://youtu.be/rHkTjLRW_X0
La rosa y el sauce - Anna Netrebko (RUSIA)
Anna Netrebko - Gala Concert St. Petersburg - Arias -
Donizetti, Lucia, Regnava nel silenzio.
---------------------------
Une des plus ravissantes
représentations d’Anna Netrebko.
Anna
Netrebko - Ruslan and Lyudmila de Mikhail Glinka.
.
Netrebko & Garanca in I Capuleti e i Montecchi.
« Ne réfléchissez pas sur Elïna », commente la prodigieuse Diva sous son portrait d’une l’irrésistible séduction féminine, après son magistrale interprétation à l’opéra des chants masculins. Du regard pénétrant du bleu de saphir du visage aux traits harmonieux, les lueurs hypnotisent les plus blasés des mélomanes.
Ne plus réfléchir sur le merveilleux ? « La musique ‑ surtout la magie de la virtuosité de son chant d’Elf nimbée à la corolle des pailles d’or ‑ radoucit les cœurs les plus farouches », dit le proverbe. Avec la séduction féminine par son nouvelle image, ma réflexion et mon allant sportif risquent d’être perturbée pour un bon moment par les fantasmes du rêve.
Traduction tu Titre : LE VRAIMENT IMPORTANT, CE SONT LES CHAUSSURES.
Elïna, la ravissante mezzo-soprano, étonnante polyglotte en guerre contre l’Académie française: « ...Et je ne le trouve donc pas correct qu’on écrit en français huit lettres mais en prononce seulement trois ou quatre... »
https://youtu.be/kXs2VAfy4ew
Elïna Garanča,
vidéo-fiction,
« Habanera,
L’amour est un oiseau rebelle ». Opéra « Carmen » de George
Bizet.
Je retrouve avec quelque peine ma sublime déesse
enchanteresse Elïna Garanča
du bel canto, dans l’aria
de George Bizet « l’amour est un oiseau rebelle » de son album
« Habanera», sur des thèmes des chansons tsiganes. La Naïade des contrées
chantantes de son pays nordique, la douce divinité éthérée des sources et
rivières à la chevelure dorée flottante,
ondulée sur les épaules gracieusement
galbées, avec son étonnant brio de virtuosité des douceurs vocales et de son
adresse de mimique des gestes de la comédienne lyrique accomplie s’est transmuée
dans la mise en scène de vidéo-fiction
dans une affectueuse Carmen séductrice d’une autre planète.
Le scénario de la vidéo-fiction avec le magnifique
solo dépasse même en fantastique et imaginaire ses classiques mise en scène
avec chœur et orchestre, les plus turbulentes des audaces fatales de
l’aguicheuse dévergondée Carmen, une gitane passionnée de l’opéra de George
Bizet. Volage et capricieuse, chanteuse et danseuse, la tsigane Carmen enjôle
des militaires pour jeter le chaos dans la garnison la ville Séville en
Espagne, finit par se faire poignarder par son court amour impulsif, par le
caporal José, jaloux amoureux passionné, ensorcelé par le chant de Carmen à la
désertion, puis délaissé pour les attraits virils d’un beau toréador.
La voilà vidéo-fiction l’Elïna transfigurée en
sorte tsiganes sauvage, sortant au son de flamenco de la guitare espagnol de la
brillance nébuleuse d’un halo solaire tel un mirage fabuleuse, éblouissant les
yeux d’un jeune-homme subjugué. À présent avec la voix de mezzo-soprano
d’attaque d’une suite de timbres dynamisés d’une belle amazone des champs
arides d’Espagne, la séductrice émette en graduel de ses magnifiques hautes
ciselés des chants scandés d’oiseau mystique.
Chevauchant un cheval aussi sauvage, coiffée une tignasse blonde
ébouriffée, des yeux bleus hypnotisantes de tigresse, avec un délectable
raffinement vocal, fulminent des éclairs de chasseresse d’une fugace aventure
amoureuse.
Galvanisé, son jeune prince rustique est conquis
d’un amour éphémère, amour s’envolant tel l’oiseau inapprivoisable en battant
les l’aile pour s’évanouir comme un bel songe au sens allégorique de l’aria.
« Si tu n’attends plus l’amour, elle est là, elle vient et s’en va,
l’amour est un oiseau rebelle, nul ne peut l’apprivoiser…, » chante la
sublime rossignole aux oreilles émerveillés de sa jeune proie paralysée du
charme du moment de félicité. Précédée d’une danse rituelle écervelée de
l’irrésistible enchanteresse tsigane, le jeune homme surpris dans la solitude
de sa grange, captivé en proie langoureuse aux anges de la rossignole fugitive,
s’abandonne sur un tas de paille à ses subtiles caresses et à la provocation
féminine de la voix de mélodieuse incantation pour voire l’amazone s’évanouir
dans les mystères comme elle est venue.
Le texte et la mise en scène fantastique de
vidéo-fiction de cette aria, ne correspond peut-être pas à la vision propre des
coutumes tsiganes en Espagne de son époux de Gibraltar, l’éblouissant maestro
Karel Mark Chichon Carel. Elïna, elle, les a étudiées de près sur place Espagne
pour parfaire son art de l’imitation sur
les scènes où elle brille dans plusieurs versions de la turbulente Carmen dans
les plus grandes maisons d’Opéra du monde, dont la fameuse Met de New-York. Le
maestro Karel Mark Chichon Carel, ce magicien de l’orchestration des
opéras-galas a mis en scène cette belle aria de provocation féminine à sa
manière de chef d’orchestre génial dans des grandes salles des concerts avec
des décors somptueuses et des orchestres prestigieux, devant un nombreux public
enthousiaste. Y est représenté plus classique le tempérament d’Elïna en tsigane
espagnol, séductrice effrontée aux longues cheveux sombres, séductrice
indomptable par son amant enflammé jusqu’à la faire périr dans les turbulences
de passion du drame sanglant de jalousie de de haine.
Mais le mélomane ne peut que se laisser emporter
par le charme de absolument admirable mise en scène ingénieuse avec les effets
spéciaux en vidéo-fiction originale du texte français de la musique George
Bizet, interprété par la talentueuse cantatrice Elïna Garanča. Cette diva phénoménale de vocalisation lyrique des
passionnes et des fantasmes amoureuses d’une amazone à cheval, répande autour
d’elle l’aura des mystères tsiganes d’un fugace amour insaisissable avec un issue
de l’idylle de tendresse nostalgique. Je le préfère au scénario authentique
militarisé. Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.
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Une des plus ravissantes
représentations d’Anna Netrebko.
Anna
Netrebko - Ruslan and Lyudmila de Mikhail Glinka.
29/03/2015. Les Foulées de 10 km de l’Assurance. Paris. Bois de Boulogne, Chemin du Lac intérieur.
Bel Canto. Elina Garanča (Künstler), Roberto Abbado (Künstler), V. Bellini (Komponist), G. Donizetti (Komponist), G. Rossini (Komponist) Format: Audio CD. Amazon.de.
Ma gracieuse déesse enchanteresse Elïna Garanča, dans l’intégrale de son Album ‘Bel Canto’ m’offre les plus vives émotions par les merveilleux récitatifs des cantates et arias immortelles, accompagnés des plus illustres étoiles du firmament chantant de l’opéra, embellies par l’orchestration d’une musique chorale et instrumentale des captivantes polyphonies savoureuses. De la diva Elïna, la sublime et fluide voix mezzo-soprano bien meublée dans tout sa large tessiture, du haut cristallin de soprano, ondule ou vibre dans les bas de contralto aux sonorités tendrement veloutées, dans des tempos d’une fascinante souplesse et variations raffinées dans expressivité dramatique, dans les couleurs lyriques. La fascinante beauté de sa virtuosité vocale élevée aux divins splendeurs sonores offre des moments d’intenses émotions, sublimes en solo, en duo ou trio d’une fascinante et poignante sensibilité par la captivante harmonie de la soprano et du ténor et du baryton de grande classe.
Peter, le Cavalier de Prose d’Elïna émerveillé.
Ma gracieuse déesse enchanteresse Elïna Garanča, dans l’intégrale de son Album ‘Bel Canto’ m’offre les plus vives émotions par les merveilleux récitatifs des cantates et arias immortelles, accompagnés des plus illustres étoiles du firmament chantant de l’opéra, embellies par l’orchestration d’une musique chorale et instrumentale des captivantes polyphonies savoureuses. De la diva Elïna, la sublime et fluide voix mezzo-soprano bien meublée dans tout sa large tessiture, du haut cristallin de soprano, ondule ou vibre dans les bas de contralto aux sonorités tendrement veloutées, dans des tempos d’une fascinante souplesse et variations raffinées dans expressivité dramatique, dans les couleurs lyriques. La fascinante beauté de sa virtuosité vocale élevée aux divins splendeurs sonores offre des moments d’intenses émotions, sublimes en solo, en duo ou trio d’une fascinante et poignante sensibilité par la captivante harmonie de la soprano et du ténor et du baryton de grande classe.
Elïna - The Best of Elïna Garanča. Elïna (Mezzo-soparno), Bellini (Komponist), Bizet (Komponist), Donizetti (Komponist), Mozart (Komponist), Saint-Saens (Komponist). Format Audio CD. Amazon.de.
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Elina Garanca - E questo il loco... Ah! se tu dormi - Vaccai.
Aria Cantilena. Elina Garanča mezzo-soprano, Fabio Luisi (Künstler), Staatskapelle Dresten & mehr. Format: Audio CD. Amazon.de.
Elina Garanča - Arie Favorite. Elïna mezzo-soprano, Alexandrs Vilumanis (Künstler), Lettisches Nationalsymphieorchester & mehr. Format: Audio CD. Amazon.de.
Mozart Opera & Concert Arias. Elïna Garanča, mezzo-soprano, Langree (Künstler), Camerata Salzburg, Wolfgang Amadeus Mozart (Komponist) Format: Audio CD. Amazon.de.
Die Operngala der Stars-Live aus Baden Baden. Anna Netrebeko soprano, Elïna Garanča mezzo-soprano, Ramon Vargas (Künstler), Armiliano (Künstler), Soswr (Künstler), I. Delibes (Komponist) & 4 mehr. Format: Audio CD. Amazon.de.
Elïna Garanča - Jaques Offenbach - Ah! quel dîner
Elïna Garanča - Di tanti palpiti. Album "Bel Canto", GET IT!!!
Elïna, Elïna, ô comme tu remues encore mon âme sous son armure par la force incantatoires de l’admirable chant des notes perlées, par la suave harmonie de ta voix enchanteresse aux colorations des expressions de toutes les nuances de l’émotion.
Ô ma déesse enchanteresse du bel canto, comme par magie de la virtuosité vocale tu éveille en moi encore mille et un songes tendres, la douce nostalgie suggestive par le regard du bleu azuré de tes iris fascinants, des longs cheveux dorés ondulés tombant délicatement sur ton corps du charme de l’éternelle féminité. « Ne pensez plus à Elïna »..., à ses cantates des délices sonres de la perfection de la vocalisation : en rêvez, fantasmez...
Elïna Garanča - Laudate Dominum.
Ton album des merveilles sonores « Méditations », par la douce atmosphère de la sublime euphonie du sacrée de ta cantate « Laudate Dominum Vesperae solennes de confessore » de Mozart, de ta voix exquise de tendresse et de beauté créée une si divine atmosphère d’enchantement attendrissant même dans le recueillement des esprits les plus endurcis. La douceur exquise de la modulation des timbres hautement élaborés de virtuose vocale produit dans ma chair et dans mon âme ces rares frémissements de plaisir transcendant d’une telle intensité pour me confesser : Elïna, mon amour n’a plus qu’un nom, ‑ l’incantation de tes inoubliables arias, cantates, oratorios…
Charles Gounod - La Reine de Saba "Plus grand dans son obscurité" (Elīna Garanča). The very beautiful VOICE of MY DIVA Elīna Garanča. La très belle VOIX de MA DIVA Elīna Garanča. ECHO KLASSIK 2013 - Konzerthaus Berlin.
Elīna Garanča: "Art is calling for me!" ("The Enchantress"), fragment: Elīna Garanča sings "Art is calling for me!" (I want to be a Primo Divo!) from the Broadway Comic Opera "The Enchantress".
From Elina Garanca's gorgeous new album "Meditations", this heavenly piece written by Mozart from the composition "Vesperae solennes de confessore"
Avec la magie sonore de Laudate Dominum de Mozart (mon préféré) dans ton incomparable Album Méditation, une jouissance infinie des sensations exquise m’emporte vers toi, Elïna, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto. Le plein épanouissement de ta sublime beauté vocale dans cette divine cantate éthérée, délicate, surnaturel fait élever mon âme au-dessus des choses terrestres : du faux monde de mon sombre existence. Devient prière en montant vers la voûte du ciel, de ces géniales féeries musicales de l’harmonie de l’orchestre et du chœur, le timbre émouvant de ta vocalisation ondulante des sonorités vibrantes de ton gracieux souffle chargé d’émotion. Ta magnifique voix polie au suprême lyrisme éveillent en moi des songeries mélancoliques et me transportent par le ravissement dans l’émerveillement d’une dimension de la rêverie et d’une nostalgie caressante.
Elīna Garanča - Agnus Dei, Georges Bizet. Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014. Kammerchor der Frauenkirche - Sächsischer Staatsopernchor Dresden. Pablo Heras-Casado : DIRIGENT
Elīna Garanča - Agnus Dei, Georges Bizet. Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014. Kammerchor der Frauenkirche - Sächsischer Staatsopernchor Dresden. Pablo Heras-Casado : DIRIGENT
Restera imprégné dans les souvenirs des mélomanes les plus délicats, un concert spirituel tel la prestigieuse représentation d’Avent dans « l’Église des Femmes » de Dresde par la force incantatoire de la tessiture mezzo chaude de ma déesse enchanteresse Elïna ; diva aux ultimes perfectionnements de la vocalisation, aussi splendides en lyrique qu’en dramatique.
De la concertation géniale de l’ « Agnus Dei » de Georges Bizet, de la basse vibration des instruments de cuivre aux sonorités pathétiques émerge la vocalisation sublime de sa voix d’un éventail de timbres émus, accompagnée des sonorités tamisé et des bassons, et des cors anglais, et des hauts bois, et de l’euphonie raffinée des instruments à corde et de percussion.
Sa voix s’étire du bas poignant de sensibilité, se prolonge aux hauteurs évocatoires de la vénération divine. La résonance ébranle l’atmosphère, fait vibrer l’air sous le haut ciel vouté d’arcs en pierres taillées, fait vibrer avec l’air du magnifique oratorio en symbiose les fibres intimes des âmes du public tant ému par les splendeurs de son émouvante voix chaude, douce et pleine d’affections tendres, des sons d’une infinie délicatesse du sacré : mouvants du décrescendo au crescendo ondulatoire ou poussés avec une grande agilité du fond de sa gorge, des passages prenantes, modulées par sa langue et ses lèvres d’un visage d’une beauté féminine exquise dans la dévotion.
Sous la direction fabuleuse de Pablo Haras-Casado, dans le transfert vouté de l’Église, se répande de son délectable raffinement vocal une inoubliable résonnance mirifique, une divine atmosphère d’harmonie et du recueillement avec la virtuosité des instrumentalistes de grand talent de l’orchestre.
Elïna Garanča: Regina caeli, laetare, alleluia, Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014 Kammerchor der Frauenkirche - Sächsischer Staatsopernchor. Dirigent Pablo Heras-Casado.
La monumentale Église de Femmes de Dresde, reconstruite par une architecture d’une fabuleuse beauté du style gothique, réalise un univers sonore inouï aux chants sacrés de la liturgie en latin. Aussi dans de cette grandiose représentation de l’oratorio de Paques « Regina caeli, laetare, alleluia », (Reine du ciel, réjouis-toi, alléluia), sur la joie de la résurrection du Christ, (arrangé par compositeur Pietro Mascagni), le remarquable ensemble de l’orchestre, chœur et solistes est dirigé avec la finesse extraordinaire du brio magistral du talentueux chef d’orchestre Pablo Haras-Casado.
Le prélude des sonorités éthérées de l’orgue suivie de la réponse chorale raffinée alterne des voix graves des hommes avec les voix hautes des femmes. L’ensemble choisi de toutes les beautés sonores des tessitures et colorations s’estompe et remonte en éblouissant graduel. Ces accords vocaux chargés de force dramatique de la prière créent un fond sonore ondoyant de spiritualité avec l’harmonie des bois, des cuivres jointes des cordes de l’orchestre en formation circulaire dans le transept d’une magnificence architecturale et somptuosité de l’art décorative. Le roulement appuyé des timbales avec des passages fortissimos des violons accroit l’harmonie du dramatique par l’extraordinaire effet de l’émotionnel.
De cet admirable fond orchestral de l’hymne de Paques du XIIe siècle de la piété mélodieusement polyphonique, se détache avec une poignante virtuosité en solo les sublimités vocales mezzo-soprano de la ravissante cantatrice Elïna Garanča. L’imploration la grâce salvatrice de la puissance céleste par ses hauts vocaux est d’une pureté digne d’une soprano colorature. Son chant émerveillant se répand, se réverbère dans la magnifique structure des colonnes, monte vibrante aux galeries circulaires jusqu’aux voûtes et arcades, fait naître dans l’auditoire des irrésistibles émotions attendrissantes.
Sa voix parfaitement flexible, la mesure paraît couler comme un fleuve enchanteur de sa gorge déployée, sans effort visible et sans limite possible, modulée avec une exquise sensibilité dans les cavités sonores de sa bouche, synchronisé à ravir du jeu des muscles du buste, du cou et de la face, des mimique et geste expressives de toute beauté en harmonie de l’exquise mélodie des mystères de l’incantation du spirituel.
D’un port de tête de charme altier de la prodigieuse reine du lyrisme colorature qu’Elïna incarne, le paroxysme de l’émotion spirituelle de l’oratorio de Pâques est produit par un majestueux crescendo du motif de prière à la Saint Marie par l’élévation vocale en finale de l’alléluia de la supplication, « Sois dans la joie et l'allégresse », pour parvenir aux félicités de la vie éternelle... son regard d’extase fixé vers le ciel.
Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté d’Elïna, de sa sublime Reine.
Sur l’Elïna Garança dans « Ah ! quando all’ara sorgemi – Ah dal ciel discenda un raggio, d’Anna Stuarda », drame lyrique de Gaetano Donizetti.
Des suprêmes symphonies de l’accompagnement de l’orchestres et du chœur» du drame lyrique de Gaetano Donizetti jaillit une caresse lyrique jubilante, évoluant aux plus tendres sons d’une aria de l’amour spirituelle. Elïna ma sublime déesse enchanteresse du bel canto expose à mes oreilles encore et encore d’autres miracles de vocalisation : ici des délices lyriques d’un fascinant rythme mélodieux des sonorités toutes plus belles les unes que les autres.
La virtuosité de son brio de la splendeur mezzo-soprano m’emporte irrésistiblement vers son art de l’émerveillement de sa vocalisation exquise d’harmonie et de beauté ; éveillent en moi des songeries mélancoliques et tendres. « Ne pensez pas à l’Elïna », déclame-t-elle sous son image de la divine jetset Naïade des confins chantants du cercle polaire ; magnifique diva éblouissante à la corolle chatoyants aux pailles d’or, ondulantes sur des courbes gracieuses de ses épaules d’une peau fine des douceurs blanches. Avec la captivante résonnance incantatoire de la fantastique virtuosité de sa belle voix, l’enchanteresse m’hypnotise aux envolés littéraires de ses prunelles aux iris de deux saphirs enflammés d’un bleu du plus bleu. Comment pourrais-je encore, dans ma solitude du spartiate aux aguets, autrement réfléchir dans mes rêves et fantasmes suggérées par les charmes des résonnances de son délectable raffinement des couleurs vocales?
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Elïna Garanča - Victor Herbert, Les feuilles mortes. Arte Lounge.
Elïna Garanča - Victor Herbert, - Jacques Offenbach - Ah! quel diner ! Aria de la Opérette « La Perichole » de Jacques Offenbach. Arte Lounge.
Produite par la télé ARTE LONGUE, dans ce récitatif télévisé, accompagné au piano dans l’ambiance jeune et bon enfant d’un café-concert Elïna ma sublime déesse du bel canto s’est muée en reine des chansons classiques avec une étonnante souplesse vocale en harmonie de la mimétique en tous genres des caractères et tempéraments: une magistrale démonstration de son étonnant talent de polyglotte autodidacte dans des chansons françaises, des lieder allemands et des songes anglais.
Dans son interprétation des « Les feuilles mortes » de Jacques Prévert, un grand classique pathétique de la chanson française, Elïna Garança n’a rien à envier aux meilleurs chansonniers et chansonnière francophones natifs de naguère avec son brio lyrique d’une grande aisance : les basses et les médianes feutrées des couleurs d’une délicate douceur féminine de sa voix, son élocution française impeccable, surprend et émerveille les jeunes du public décontracté.
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Dans l’aria « Ah quel diner ! » de l’opérette « La Perichole » de Jacques Offenbach, accompagné de son jeune et jovial pianiste Victor Herbert à la touche pittoresque digne de l’ambiance enjouée, Elïna galvanise son jeune public décontracté jusqu’à l’extase par le passage du lyrisme pathétique au lyrisme comique avec une parfaite mimique du chant bachique d’une joyeuse fêtarde saoulée. Si ce n’était pas de l’exquise comédienne la maîtrise parfaite de ses gestes évocatrices et l’euphonie des lallations volubiles finement articulées d’ivrogne en goguette de sa voix adaptée aux plus incroyables variations du genre vocale, un spectateur superficiel aurait pu croire se trouver en présence de cette drôlesse d’Elïna, chantante devant le piano avec un grand coup de champagne dans le nez pour de vrai.
13/08/2015. Elīna Garanča. Johannes Brahms « Von ewiger Liebe » (De l’amour éternel).
Le concours international de chant Mirjam Helin en Finlande 1999, c’est d’Elïna Garança « la grande messe de divinisation » en cantatrice d’envergure internationale. Au jury des grands professionnels chevronnés du chant et de la musique, doués d’une ouï de finesse extraordinaire, du plus raffiné qu’on puisse trouver, pas la moindre dissonance, pas le moindre contretemps ou d’hésitation d’expression, pas la moindre arythmie n’échappe. Sans effets spéciaux de sonorisation, dans ce récital de chant accompagné de piano des ambitieuses cantatrices du monde entier en concours, seule la qualité de vocalisation lyrique et de la virtuosité est magistralement appréciée. S’y présentant en tenue presque monacal, pour remporter le premier prix tant convoité, Elïna fit jouer avec une grande maitrise ses brillantes qualités de modulation vocale par le seul jeu des sonorités expirées de sa gorge dans les cavités de résonance buccales et nasales, modulant avec le sublime jeu des muscles faciales, de sa langue et de ses lèvres des plus fines sonorités expressives du lyrisme, toutes les subtiles nuances et colorations d’émotion du timbre de la voix douce et d’une caressante féminité qu’exige ce Lied du plus important compositeur du romantisme allemand Johannes Brahms « Von ewiger Liebe » (De l’amour éternel).
Elïna Garanča, dans les arias de Vivaldi avec Europa Galante, Fabio Biondi, Patrizia Ciofi, Vivica Genaux, Marijana Mijanovic... « La sorte mia spietata. Quel ciglio vezzosetto. Spesso tra vaghe rose » et autres arias de « Bajazet ».
Une représentation éblouissante des arias pour voix féminines dans l’opéra baroque « Bajazet » de Vivaldi de ma divine enchanteresse Elïna Garanča du bel canto. Dirigé et mise en scène par le remarquable violoniste Fabio Blondi, la tragédie musicale est jouée par son petit orchestre original EUROPA GALANTE, utilisant des instruments anciens pour reproduire avec maestria le timbre particulier de l’époque. Avec la souplesse de la tessiture de sa voix mezzo pleine et douce, en écho avec le chant du premier violon, est rythmiquement exhalée, scandé avec finesse du fond sa gorge avec des intensités et tonicités du raffinement variée de la musicalité particulière de Vivaldi. La virtuosité des modulations subtiles sur tout le registre des couleurs de son suprême lyrisme, son admirable expressivité vocale rentrait en charmante euphonie avec les variétés des timbres rares des instruments anciens à corde, le clavecin, le basson et les adorables participations des hauts bois baroques.
Elïna Garanča, vidéo-fiction, « Habanera, L’amour est un oiseau rebelle ». Opéra « Carmen » de George Bizet.
Je retrouve avec quelque peine ma sublime déesse enchanteresse Elïna Garanča du bel canto, dans l’aria de George Bizet « l’amour est un oiseau rebelle » de son album « Habanera», sur des thèmes des chansons tsiganes. La Naïade des contrées chantantes de son pays nordique, la douce divinité éthérée des sources et rivières à la chevelure dorée flottante, ondulée sur les épaules gracieusement galbées, avec son étonnant brio de virtuosité des douceurs vocales et de son adresse de mimique des gestes de la comédienne lyrique accomplie s’est transmuée dans la mise en scène de vidéo-fiction dans une affectueuse Carmen séductrice d’une autre planète.
Le scénario de la vidéo-fiction avec le magnifique solo dépasse même en fantastique et imaginaire ses classiques mise en scène avec chœur et orchestre, les plus turbulentes des audaces fatales de l’aguicheuse dévergondée Carmen, une gitane passionnée de l’opéra de George Bizet. Volage et capricieuse, chanteuse et danseuse, la tsigane Carmen enjôle des militaires pour jeter le chaos dans la garnison la ville Séville en Espagne, finit par se faire poignarder par son court amour impulsif, par le caporal José, jaloux amoureux passionné, ensorcelé par le chant de Carmen à la désertion, puis délaissé pour les attraits virils d’un beau toréador.
La voilà vidéo-fiction l’Elïna transfigurée en sorte tsiganes sauvage, sortant au son de flamenco de la guitare espagnol de la brillance nébuleuse d’un halo solaire tel un mirage fabuleuse, éblouissant les yeux d’un jeune-homme subjugué. À présent avec la voix de mezzo-soprano d’attaque d’une suite de timbres dynamisés d’une belle amazone des champs arides d’Espagne, la séductrice émette en graduel de ses magnifiques hautes ciselés des chants scandés d’oiseau mystique. Chevauchant un cheval aussi sauvage, coiffée une tignasse blonde ébouriffée, des yeux bleus hypnotisantes de tigresse, avec un délectable raffinement vocal, fulminent des éclairs de chasseresse d’une fugace aventure amoureuse.
Galvanisé, son jeune prince rustique est conquis d’un amour éphémère, amour s’envolant tel l’oiseau inapprivoisable en battant les l’aile pour s’évanouir comme un bel songe au sens allégorique de l’aria. « Si tu n’attends plus l’amour, elle est là, elle vient et s’en va, l’amour est un oiseau rebelle, nul ne peut l’apprivoiser…, » chante la sublime rossignole aux oreilles émerveillés de sa jeune proie paralysée du charme du moment de félicité. Précédée d’une danse rituelle écervelée de l’irrésistible enchanteresse tsigane, le jeune homme surpris dans la solitude de sa grange, captivé en proie langoureuse aux anges de la rossignole fugitive, s’abandonne sur un tas de paille à ses subtiles caresses et à la provocation féminine de la voix de mélodieuse incantation pour voire l’amazone s’évanouir dans les mystères comme elle est venue.
Le texte et la mise en scène fantastique de vidéo-fiction de cette aria, ne correspond peut-être pas à la vision propre des coutumes tsiganes en Espagne de son époux de Gibraltar, l’éblouissant maestro Karel Mark Chichon Carel. Elïna, elle, les a étudiées de près sur place Espagne pour parfaire son art de l’imitation sur les scènes où elle brille dans plusieurs versions de la turbulente Carmen dans les plus grandes maisons d’Opéra du monde, dont la fameuse Met de New-York. Le maestro Karel Mark Chichon Carel, ce magicien de l’orchestration des opéras-galas a mis en scène cette belle aria de provocation féminine à sa manière de chef d’orchestre génial dans des grandes salles des concerts avec des décors somptueuses et des orchestres prestigieux, devant un nombreux public enthousiaste. Y est représenté plus classique le tempérament d’Elïna en tsigane espagnol, séductrice effrontée aux longues cheveux sombres, séductrice indomptable par son amant enflammé jusqu’à la faire périr dans les turbulences de passion du drame sanglant de jalousie de de haine.
Mais le mélomane ne peut que se laisser emporter par le charme de absolument admirable mise en scène ingénieuse avec les effets spéciaux en vidéo-fiction originale du texte français de la musique George Bizet, interprété par la talentueuse cantatrice Elïna Garanča. Cette diva phénoménale de vocalisation lyrique des passionnes et des fantasmes amoureuses d’une amazone à cheval, répande autour d’elle l’aura des mystères tsiganes d’un fugace amour insaisissable avec un issue de l’idylle de tendresse nostalgique. Je le préfère au scénario authentique militarisé.
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La couverture du livre autobiographie d’Elïna Garanča « LES CHAUSSURES SONT VRAIMENT IMPORTANTS », traduit par moi de l’allemande en française, avec son implication en « reine blanche sur l’échiquier des belligérants de l’ombre », me confère une côte terrible chez certains participants et spectateurs lors des compétitions des courses à pied. Je porte cette image sur l’arrière de mon sac à dos et épinglé sur la cuisse droite de mon collant de sport.
Dans le Métro de Paris déjà, un vieux violoniste de l’opéra eu de la peine de se retenir pour me sauter au cou pour m’embarrasser. Dans une des courses, une jeune nana a foncée, traversée la barrière, est rentrée avec sa bagnole au milieu des coureurs pour me lancer des baisers avec des grandes gestes des mains. Que, abandonné de tous, j’ai fait appel à une cantatrice d’envergure internationale pour patronner mes travaux académiques d’importance aussi internationale, à défaut d’un de ces grandiloquents mandarins universitaires ou d’un intarissable tribun démagogue, ça plait évidemment beaucoup aux adolescentes et jeunes femmes enthousiasmées, m’applaudissent chaleureusement au passage.
Mais là où la couverture du livre d’Elïna a plus de succès, c’est chez les toutes petites et petites filles. Elles ne cessent de s’en extasier, s’évertuent parfois d’imiter avec application, juste à côté de ma cuisse, les grimaces comiques d’Elïna sur la couverture de son livre.
Pour prendre le train, sur le quai, je passais devant une petite fille, la couverture plastifiée du livre d’Elïna sur l’arrière de mon sac à dos. Fascinée, la petite tirait par la main son papa pour rentrer dans le même wagon, de s’assoir à côté de moi sur les sièges vis-à-vis du couloir central. Elle ne pouvait ne plus détacher son regard de la photo d’Elïna, placée bien en vue pour elle. Lorsque je fis semblant de sommeiller, son papa tira des photos de la couverture plastifiée et la fillette continuait de s’émerveiller des grimaces d’Elïna sur le petit écran du téléphone portable.
Lors des courses à pied des photographes amateurs, ravis par Elïna, cadrent leurs prises de vue sur ma cuisse droite où est épinglée la photo d’elle avec ses grimaces comiques, au risque de couper sur l’image ma tête. Ça m’amuse. Mais il y a des photoreporters qui sont chargés par leurs employeurs de ne me cadrer que jusqu’à la ceinture. J’ai avertis un d’eux en courant : « N’oubliez pas Elïna ! » Par le chiffre magique 13, l’action de nous deux est liée jusqu’à la fin de l’Histoire et la publicité dans une telle extraordinaire affaire mondiale est pour une artiste très importante. Si les prises de vues publiés seront amputées, de défendre dans une salle d’audience d’un tribunal d’une si courageuse et ravissante artiste comme Elïna, pour un avocat ce sera comparable au rôle d’une Prima Donna dans une représentation d’opéra au Met de New York.
Les mamans feront bien de profiter de l’attraction du moment, de lire ce livre de valeur éducative générale sur le chemin laborieux de la réussit et du succès à leurs petites filles, ou les faire lire aux plus grandes.
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Dimanche 18 octobre 2015 : Muco-Trail du Mont Sarrazin 22 km. Saint-Pierre les Nemours 77.
Éloigné de Paris et mal desservis par le train, il a fallu me lever de très bonne heure pour prendre le premier métro matinal allant vers le garde de Lyon. Après mon arrivé au stade, le départ du trail de 22 km a été reporté d’une demi-heure. Au lieu de partir de 9h30, on partait à 10 heures, 15 minutes après le trail de 10 km.
C’était un magnifique parcours tout-terrain, en majorité sur des étroites et difficiles pistes dans une forêt rocailleuse. Pas question de faire de la vitesse si bien que je courrais en agréable compagnie des jeunes. La photoreporter s’est planqué à une pente raide d’une profonde couche de terre calcaire poussiéreuse. Elle me prenait en photo à la descente acrobatique et au retour, à la montée pénible, toujours en compagnie des jeunes gens.
Il y courrait un petit groupe d’une jeune femme et d’un jeune homme. Le troisième qu’avaient des difficultés de les suivre et resté derrière, je n’ai pas pu l’examiner. Pour que les gens puissent la regarder sans me dévisager, j’avais accroché derrière à ceinture la photo d’Elïna Garanča. Le compagnon, son époux sans doute, et la jeune femme de ce groupe, d’un corps de sportive parfaitement moulé dans son collant de coureuse, une belle tête au front haute, des longues cheveux blonds coiffés en queue de cheval, a dû se rendre-compte qu’elle ressemblait vaguement à Elïna.
Son compagnon a décroché à la fin de course, nous devançait. Je ne sais pas très bien le quel de nous deux s’est arrangé d’approcher ensemble la ligne d’arrivée, moi à côté, légèrement derrière cette beauté. Le photographe nous mitraillait d’abord tous les deux, mais après, il a focalisé son objectif sur ma belle compagnie, pour la prendre seule. J’ai bien peur pour elle, qu’elle n’aura jamais la photo de nous deux ensemble, moi avec le teeshirt jaune avec la tête de mort coiffé d’un béret vert dans le triangle de l’insigne du 2° RÉP.
Une photo pareille pourrait bien se faire monnayer par la presse internationale. Un peu retouché, on pourrait faire courir avec moi Elïna Garanča en forme olympique des semi-marathons.
Elïna Garanča - Parto, ma tu ben moi.
Elīna Garanča - Deh, per questo istante solo.
Elïna Garanča vient d'une famille de musiciens. Elle étudia à l’Académie de Musique de sa ville natale Riga en Litanie. Sa carrière mezzo-soprano a commencé à l’opéra de Meiningen en Allemagne et se poursuivra à Francfort et Vienne et sur les scènes du monde. À la percée internationale au Festival de Salzbourg de 2003, Elïna Garanča a été honorée avec plusieurs prix et en 2013 est officiellement agrée cantatrice d'opéra autrichienne. Parmi ses rôles les plus célèbres aux côtés de rôles mozartiens se trouve aussi Carmen de Georges Bizet.
https://youtu.be/lK9aENxrtgE
Echo2015. Am 18. Oktober berichtet www.crescendo.de live von der Verleihung des ECHO-Klassik aus dem Konzerthaus Berlin.
Toujours plus magnifique sur scène avec tes représentations éblouissantes, ma sublime Elïna Garanča adorée à la passion, ô mon Rossignol au beau visage auréolé des chatoyantes cheveux dorés, tes hymnes aux sonorités exquises et gracieux ébranlent des doux frémissements mon âme granitique.
Ô mon Rossignol obsédant, tes yeux grands et bleus d’éclats transfigurateurs, ô mon Oiseau du lointain paradis musical, Oiseau de mes mirages de tendresse et fantasmes d’amour spirituelle : enivrant mirage doré des mille et un décors des splendeurs mirifiques, des souffles du suprême lyrisme enchanteur du bel canto frémissant, vibrant de captivantes émotions.
Peter, ton Cavalier de Prose enchanté.